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  • Auteurs: Alexyanne
  • Auteurs: Renee Roszel

N° 1829 - Une promesse éternelle (Renee Roszel)

2,95 €
Encore sous le choc de l'affront que Kalli Angelis venait de lui faire subir, Nikolos Varos arpentait son luxueux bureau. Comment, alors que leur mariage était conclu de longue date par leurs deux familles, sa fiancée avait-elle osé rompre sa promesse, à la veille de la cérémonie ? Une telle humiliation méritait vengeance… mais pas n'importe laquelle : une vengeance insolite, sous la forme d'un contrat que la jeune femme, à moins d'avoir perdu la raison, ne pourrait pas se permettre de refuser !

N° 1892 - Fiançailles accidentelles (Renee Roszel)

2,15 €
Las de sa vie d'aventurier égoïste, Zacharie Merit rentre, après une longue absence, sur Merit Island, l'île que possède sa richissime famille. Mais sa réputation de play-boy l'y a précédé, et il découvre avec stupéfaction que la presse à scandales a annoncé ses fiançailles avec la fille d'un sénateur américain, Olivia Nordstrom. Certes, Zacharie a fait la connaissance d'Olivia - et n'est pas près de l'oublier ! - mais pour une fois, il a réussi à bien se tenir ! Il doit donc régler au plus vite ce malentendu. Mais curieusement, l'idée de rompre avec la sublime Olivia le met mal à l'aise...

N° 1544 - Rappelle-toi (Alexyanne)

3,05 €
Extrait : Depuis un peu plus d'une heure, le train n'était plus express, mais omnibus… Il ne faisait plus entendre son long sifflement tragique, au moment de brûler les gares ; les petites maisons, en bordure de la voie, ne s'effaçaient plus devant lui dans un vent de panique ; le bruit de ses roues n'avait plus cette note autoritaire et triomphante qui, depuis Paris, était revenue à un rythme régulier dans le chant de sa marche… Il ralentissait souvent, maintenant, le train naguère si orgueilleux de sa vitesse et de sa force. Il arrivait dans les petites gares en s'annonçant, en s'excusant presque de troubler la paix des champs environnants… Et il repartait avec des halètements poussifs. On aurait dit qu'il avait vieilli. Jeanine, debout dans le couloir, fumait la dernière cigarette avant l'arrivée à Parchy. Elle se faisait, au sujet du train, ces réflexions un peu puériles, et se demandait s'il en serait de même pour Philippe, lorsqu'il ne serait plus le brillant météore filant à toute vitesse dans le ciel de la gloire, faisant pâlir les étoiles plus anciennes, jetant ses feux aveuglants, projetant dans une ombre plus dense encore qu'avant son passage les petits feux qui essayaient de se survivre…
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