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  • Auteurs: Alfred Hitchcock
  • Auteurs: Emilie Hubert
  • Auteurs: Gladys Davidson
L'épouvantable épouvantail (Alfred Hitchcock) - Bibliothèque verte N° 278 - Hachette
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N° 278 - Les Trois jeunes détectives : L'épouvantable épouvantail (Alfred Hitchcock)

2,74 €
« Je n'ai entrevu l'épouvantail qu'une seconde à peine. Il s'est élancé pour dégringoler la colline et je l'ai perdu de vue. » Le témoignage du jeune homme semble hallucinant. Mais de recoupements en recoupements, Hannibal, Bob et Peter devront se rendre à l'évidence : un épouvantail vivant hante bel et bien les montagnes de Santa Monica !

La grande aventure (Émilie Hubert)

6,75 €
Maud et Émilie sont deux amies inséparables qui aiment faire ensemble les quatre cents coups. Alors, quand l'une propose de jouer aux enfants perdus dans les bois, l'autre accepte sans hésiter. Une corde pour grimper, un drap pour monter une tente, quelques vivres pour subsister. Les voilà prêtes pour l'aventure. La grande. Mais, dans les bois, il fait vite sombre, surtout quand il pleut. Et puis, on n'est pas à l'abri de rencontres inquiétantes…

N° 706 - La rose magique (Gladys Davidson)

12,00 €
Extrait : I - Deux Princes Il était une fois un vieux Roi fort riche, qui avait un très méchant fils et un neveu très bon. Le fils se nommait le prince Ragio ; et ce nom lui allait à merveille, car on ne vit jamais Prince plus désagréable, plus laid, plus stupide, et d'un caractère plus mauvais, dans tout le Monde des fées. Personne ne l'aimait, et le peuple tremblait à la pensée qu'un jour il serait le maître ; car, au lieu de s'occuper des affaires de l'état, comme un Prince sage doit le faire, il passait tout son temps à s'amuser avec des compagnons de paresse, et il faisait toujours le mal partout où il allait. Sa mauvaise conduite était un perpétuel sujet de douleur pour son père, et le pauvre vieux Roi en fut devenu fou, n'eût été la bonté de son neveu, le prince Florizel, qui l'aidait de son mieux et lui était, en vérité, une grande consolation. Ce jeune Prince était aussi beau que son cousin était laid ; il était aimable, intelligent, plein de vaillance et de noblesse. Il assistait aux conseils et prêtait au vieux Roi toute l'assistance qu'il pouvait ; plus d'une fois, grâce à ses sages avis, on put se tirer d'ennuis causés par la conduite déréglée du prince Ragio. Le peuple aimait le prince Florizel, et l'aurait bien voulu pour Roi ; mais, pendant longtemps, il garda ce voeu secret, tant il craignait que le méchant Prince ne tuât son favori…
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