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  • Auteurs: Allan Stratton
  • Auteurs: David Win
  • Auteurs: Marcelle de Morthone
L'apprenti pilleur de tombes - Allan Stratton - BAYARD Jeunesse

L'apprenti pilleur de tombes (Allan Stratton)

5,45 €
Hans, tout bébé, a été recueilli par Gaspard, un vieux pilleur de tombes, qui l'a découvert par une nuit de tempête, échoué sur la plage, dans un coffre richement sculpté. Aujourd'hui, Hans a treize ans et il éprouve de plus en plus d'aversion pour cette profession… Le soir où son père lui ordonne d'aller piller, seul, sa première sépulture, il s'enfuit, bien décidé à découvrir qui sont ses véritables parents…
Madison Avenue - David Win - Grands Romans Harlequin N° 26

Madison Avenue (David Win)

2,95 €
Toute la vérité sur les dessous de Manhattan ! Un scandale immobilier bouleverse leur destin. Michelle Howard : « Je travaille dans une grande agence de publicité à New York. J'habite le Crestfield, j'adore ces vieux immeubles des années Trente... Et quand Marc m'a proposé de l'aider à sauver le Crestfield, je n'ai pas pu refuser. Ne me demandez pas pourquoi ! » Marc Darrin : « Ma mère habite le Crestfield. Et le hasard a voulu que je quitte mon rôle doré de présentateur vedette à la télévision pour devenir détective... Pour Michelle, surtout. Ne lui dites pas que je suis amoureux d'elle ! » Elaine Samuels : « Le monde des affaires est impitoyable. Je ne regrette rien. Corruption, combines, c'est monnaie courante à Manhattan ! Vous verrez, c'est ce maudit concierge qui a tout fait rater ! »
Le triomphe de la jeunesse (Marcelle de Morthone) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1162

N° 1162 - Le triomphe de la jeunesse (Marcelle de Morthone)

3,05 €
Extrait : Dans le silence du vaste bureau, la sonnerie grêle du Morse retentit tout à coup. Une adolescente, tapie dans l'angle de la fenêtre, sombre silhouette disparaissant presque derrière un journal déplié, se redressa. — Ne vous dérangez pas, mademoiselle Cardonne… Je suis debout… dit une voix. L'interpellée se laissa retomber sur la chaise basse et replia le journal d'un geste nerveux, en levant sur son interlocutrice de grands yeux que la pupille d'un noir de jais remplissait presque. Le visage, d'un ovale parfait avait naturellement cette couleur mate obtenue par les élégantes grâce au concours savant des parfumeurs à la mode et la bouche un peu grande, mais au pur dessin, était du rouge foncé des cerises bien mûres. L'expression enfantine de cette bouche contrastait singulièrement avec le regard, un peu regard de femme qui semblait voir loin dans les âmes…
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