Accueil

Accueil

Il y a 4 produits.

Affichage 1-4 de 4 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Allan Stratton
  • Auteurs: Félix Léonnec
  • Auteurs: Thierry Cailleteau

L'apprenti pilleur de tombes (Allan Stratton)

5,45 €
Hans, tout bébé, a été recueilli par Gaspard, un vieux pilleur de tombes, qui l'a découvert par une nuit de tempête, échoué sur la plage, dans un coffre richement sculpté. Aujourd'hui, Hans a treize ans et il éprouve de plus en plus d'aversion pour cette profession… Le soir où son père lui ordonne d'aller piller, seul, sa première sépulture, il s'enfuit, bien décidé à découvrir qui sont ses véritables parents…

Cryozone T1 : Sueurs froides (Thierry Cailleteau, Denis Bajram)

8,50 €
A bord de l'U.N.S.S. Neil Alden Armstrong, premier vaisseau terrien lancé pour colonier une planète étrangère, 9600 hommes et femmes reposent en stase cryogénique afin de supporter les 20 années du voyage, tandis qu'une équipe de 400 permanents veille sur eux et sur la navigation. Mais une explosition à bord bouleverse la routine du voyage en endommageant les systèmes d'animation suspendue. Afin de préserver la vie des colons, l'équipage se voit contraint de les réveiller d'urgence, sans respecter les procédures de sécurité. En reprenant conscience, ceux-ci ont faim… Faim de chair humaine !

Cryozone T2 : Syndrôme Z (Thierry Cailleteau, Denis Bajram)

9,95 €
A bord de l'U.N.S.S. Neil Alden Armstrong, premier vaisseau terrien lancé pour colonier une planète étrangère, 9600 hommes et femmes reposent en stase cryogénique afin de supporter les 20 années du voyage, tandis qu'une équipe de 400 permanents veille sur eux et sur la navigation. Mais une explosition à bord bouleverse la routine du voyage en endommageant les systèmes d'animation suspendue. Afin de préserver la vie des colons, l'équipage se voit contraint de les réveiller d'urgence, sans respecter les procédures de sécurité. En reprenant conscience, ceux-ci ont faim… Faim de chair humaine !

N° 1150 - Pauvre petite femme (Félix Léonnec)

2,92 €
Extrait : — Allons, mon bon Benoît, il faut nous séparer ; depuis hier soir, déjà, vous n'êtes plus à mon service mais à ceux du duc de Veristein ; ce tour que nous venons de faire ensemble était le dernier fait par moi sur ce domaine depuis si longtemps à mes ancêtres. J'aime mieux le voir vendu à un grand seigneur que de le voir péricliter faute d'argent pour le faire valoir. — Est-il possible, monsieur le comte, que des choses pareilles puissent arriver. J'ai été au service de Monsieur votre père et à ce moment on disait couramment que les comtes de Villerbois étaient quasiment aussi riches que des rois. — Que des rois pauvres, mon brave Benoît, certainement nous avions de quoi faire valoir tout le pays, mais les temps ont changé, la vie a des exigences qui n'existaient pas autrefois…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire