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  • Auteurs: Amédée Achard
  • Auteurs: Edouard de Keyser
  • Auteurs: Henri Mansvic

Les chevauchées de M. de la Guerche (Amédée Achard)

2,90 €
Par sentiers et grand-routes, d'embuscades en champs de bataille, M. de la Guerche poursuit ses passionnantes aventures, dont les épisodes précédents ont été relatés dans  Les coups d'épée de M. de la Guerche  et  La fiancée de M. de la Guerche . Avec son inséparable ami Renaud de Chaufontaine, il affronte les grands seigneurs d'Allemagne et les sombres spadassins attachés à leur fortune…

N° 16 - Le compagnon de route (Edouard de Keyser)

8,00 €
Extrait : Le paquebot s'est enfoncé dans la nuit. Sur cet asile infime, des centaines d'existences sont livrées aux caprices des éléments, et pourtant, quelle profonde impression de sécurité ! Je viens de parcourir le pont, de la proue à la poupe. Le roof était déjà plongé dans les ténèbres. D'une écoutille jaillissait un peu de lumière jaune. Deux silhouettes droites, précises, se détachaient sur le ciel gazé d'argent : l'officier de quart, appuyé contre une bataille de la passerelle, et un homme d'équipage debout à l'extrême pointe du bâtiment, comme le prorète de l'ancienne marine, et tellement immobile au sommet de l'angle que j'ai songé à l'alpestre des nefs antiques. Sur le deck, un voyageur amoureux des nuits fraîches adoptait un banc pour couchette. Deux prêtres se promenaient en riant. Il y a d'ailleurs beaucoup de prêtres à bord, car le Portugal , des Messageries Maritimes, emporte le pèlerinage français vers la Terre Sainte : durant la matinée, on ne peut ouvrir la porte du bar du fumoir ou du salon sans tomber en pleine messe. Partout des boîtes-chapelles étalées, des officiants en mal d'équilibre, et des pèlerins-enfants-de-choeur, très émus de promener le missel et les burettes sur un semblant de roulis…

N° 544 - Celle qui aime... (Henri Mansvic)

3,74 €
Extrait :  En pleine Sarthe, sur la pente d'une colline boisée au pied de laquelle une rivière ondule, se dresse le vieux château de Menonville. On y accède par un chemin moussu, tout bordé de haies vives, qui, par ce matin de mai ensoleillé, verdoient et parfument. A l'heure où nous y pénétrons avec notre lecteur, un homme, presque un vieillard, est assis dans un petit salon solitaire. Les coudes sur une table, l'oeil fixe, la tête dans ses deux mains, il songe. Et ce à quoi il songe doit être profondément triste, car de longs soupirs s'échappent par instants de sa poitrine oppressée. Les mauvaises nouvelles, qu'il pressentait il y a quelques jours, s'étaient en effet confirmées hier. Il n'y avait plus de doute possible, et le désastre était absolu de la banque qui détenait sa fortune…
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