Accueil

Accueil

Il y a 3 produits.

Affichage 1-3 de 3 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Amélie Sarn
  • Auteurs: Stan Cullimore
  • Auteurs: Willie Cobb
Pourquoi les filles grandissent-elles ? (Stan Cullimore) - Le livre de poche N° 695
  • Nouveau

Pourquoi les filles grandissent-elles ? (Stan Cullimore) - Le livre de poche N° 695

3,50 €
— Pourquoi l'adorable blonde que l'on faisait sauter sur ses genoux, il n'y a pas si longtemps de cela, s'enferme-t-elle à double tour dans la salle de bains en hurlant soudain qu'on lui fiche la paix ? — Pourquoi en ressort-elle dangereusement rousse ? — En Somme : est-il possible, pour un père, d'élever seul sa fille de treize ans bientôt quatorze ? À partir de 12 ans.

À mort le minotaure (Amélie Sarn)

3,26 €
Après le drame qu'il a vécu, Théo se croit condamné au malheur. D'ailleurs « ils » l'ont bien dit, « Jamais, il ne s'en remettra ». Alors, il est rentré dans son rôle de victime, taciturne et solitaire. Envoyé bien malgré lui en colonie de vacances, Théo se retrouve parmi d'autres adolescents qu'il se contente d'observer ironiquement sans décrocher un mot. Mais il suffit parfois d'un banal jeu de piste pour déjouer l'ordre des choses… Il lui faudra se perdre dans la forêt pour qu'une main légère comme une plume se pose sur sa main, l'effleure à peine et qu'une voix douce comme une brise souffle à son oreille : « Il n'est pas trop tard, Théo Zéméckis, il n'est jamais trop tard. » Dès 12 ans.

N° 1286 - L'amour d'un inconnu (Willie Cobb)

3,05 €
Extrait : Le timbre de la porte d'entrée résonna. L'homme qui, assis devant le bureau, dans le studio ensoleillé, classait des papiers en en déchirant parfois nerveusement qu'il jetait dans une corbeille, cessa tout mouvement. Quand on a déclaré qu'on n'y est pour personne, il importe de ne faire aucun bruit qui puisse révéler votre présence. Il écoutait. Un vieux domestique parut : — C'est M. Roques, dit-il. — Bien. Fais entrer, mon vieux Victor. Et surtout, hein? Personne d'autre ? Si l'on me demande, je suis parti en voyage. — Soyez tranquille, monsieur. J'ai bien compris, allez ! La porte s'ouvrit, encadrant la silhouette d'un grand garçon brun, rasé. Les deux hommes se serrèrent la main. Il était visible qu'ils étaient émus tous les deux mais qu'ils ne voulaient pas le paraître. — Assieds-toi, Bernard. Tu es gentil d'être venu. Je te remercie. — Oh ! Léonard ! Tu blagues ? Des remerciements entre nous, des vieux copains !…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire