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  • Auteurs: Amii Lorin
  • Auteurs: Henri Mansvic
  • Auteurs: James Oliver Curwood

Les coeurs les plus farouches (James Oliver Curwood)

3,50 €
« Non ! vous ne nous suivrez pas. Car je connais vos sentiments… ». Le sergent Billy Mac Veigh replia le billet et demeura pétrifié. Ainsi cette femme qu'il avait secourue dans la tempête était Isabelle Deane, la femme du meurtrier qu'il recherchait depuis des mois dans les steppes désolées du Grand Nord canadien. Elle fuyait maintenant avec son mari à quelques milles devant lui !…

N° 185 - Bonsoir, belle citadine (Amii Lorin)

2,15 €
Dirk considère Tina comme une femme d'affaires calculatrice et froide, prête à tout pour sauver sa boutique. Tina le tient pour un homme insensible, aux nombreuses conquêtes féminines. De surcroît elle lui reproche d'exercer sur elle une pression par le biais de son héritage. Comment pourraient-ils envisager un quelconque avenir ensemble ? Chacun a pourtant un besoin profond, irrationnel, inexplicable de l'autre... Depuis le jour où ils ont fait l'amour, cinq ans plus tôt.

Les chasseurs de loups (James Oliver Curwood)

4,50 €
Ce roman a pour théâtre le Canada du Nord, le Grand Désert Blanc cher à Curwood, avec ses forêts et ses montagnes neigeuses hantées par les élans, les loups et de féroces tribus indiennes. C'est aux premiers pas d'un jeune Américain dans ce rude univers que nous assistons ici…

Les coeurs les plus farouches (James Oliver Curwood)

2,74 €
« Non ! vous ne nous suivrez pas. Car je connais vos sentiments… ». Le sergent Billy Mac Veigh replia le billet et demeura pétrifié. Ainsi cette femme qu'il avait secourue dans la tempête était Isabelle Deane, la femme du meurtrier qu'il recherchait depuis des mois dans les steppes désolées du Grand Nord canadien. Elle fuyait maintenant avec son mari à quelques milles devant lui !…

N° 544 - Celle qui aime... (Henri Mansvic)

3,74 €
Extrait :  En pleine Sarthe, sur la pente d'une colline boisée au pied de laquelle une rivière ondule, se dresse le vieux château de Menonville. On y accède par un chemin moussu, tout bordé de haies vives, qui, par ce matin de mai ensoleillé, verdoient et parfument. A l'heure où nous y pénétrons avec notre lecteur, un homme, presque un vieillard, est assis dans un petit salon solitaire. Les coudes sur une table, l'oeil fixe, la tête dans ses deux mains, il songe. Et ce à quoi il songe doit être profondément triste, car de longs soupirs s'échappent par instants de sa poitrine oppressée. Les mauvaises nouvelles, qu'il pressentait il y a quelques jours, s'étaient en effet confirmées hier. Il n'y avait plus de doute possible, et le désastre était absolu de la banque qui détenait sa fortune…
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