Accueil

Accueil

Il y a 3 produits.

Affichage 1-3 de 3 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Ana Mirallès
  • Auteurs: André Ray
  • Auteurs: Francine Robert

N° 185 - Les yeux de l'amour (André Ray) - Marlène DIETRICH en couverture

3,50 €
Les yeux de l'amour Roman d'amour inédit par André Ray Extrait : — Le rayon de papeterie, s'il vous plaît ? — Au fond et à droite, Monsieur. Michel suivit la direction qu'avait pointée le doigt de la vendeuse. Il était venu dans ce grand magasin de Bruxelles pour se procurer du papier à lettres. Le passage entre les rayons et les propositions était vraiment étroit, et le monde qui s'y engouffrait obligeait Michel d'avancer très lentement. Il mit un temps infini à trouver le rayon de papeterie. Mais cela ne faisait rien. Il avait le temps. Et puis, cette atmosphère de grand magasin, cette animation et ce murmure, l'éclairage aux tubes fluorescents, plaisaient à Michel. Il avait l'impression d'être dans une fourmilière humaine où tous travaillent, où tous se bousculent pour accomplir leur tâche…

Corps à Corps (Ana Mirallès, Emilio Ruiz)

12,00 €
Dans les coulisses d'un tournage, les acteurs ont parfois de drôles de techniques pour conjurer le trac… Et certains producteurs de drôles de manières de faire passer les castings… Ana Mirallès a su conjuguer ardeur et sensibilité sur une histoire torride signée Emilio Ruiz.

N° 1899 - Jamais l'amour n'a su compter (Francine Robert)

2,92 €
Extrait  : — Je suis certain, en tout cas, de faire un très mauvais chef d'entreprise, un industriel exécrable ! — A ton âge, mon petit Roland, on n'est certain de rien, permets-moi de te le dire ! Et les deux interlocuteurs s'étaient dressés de chaque côté du bureau ministre qui les séparait. Un petit panneau de plexiglas posé sur la surface polie du meuble apprenait, dès leur entrée, aux visiteurs, qu'ils se trouvaient en face de « Lucien Vaudé, directeur général ». Pour la première fois de sa vie, cet homme d'affaires accoutumé à ne trouver devant lui que docilité, obéissance passive, se heurtait à une volonté qui valait peut-être la sienne : celle de son fils unique, Roland. Ce dernier venait d'avoir vingt-deux ans et on employait habituellement, pour le décrire, trois adjectifs que venait renforcer le mot « très » : « …Très grand, très brun, très sympathique… »…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire