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  • Auteurs: André Demaison
  • Auteurs: Johannes Udhen
  • Auteurs: Pierre Montanay

N° 254 - Claudia (Johannes Udhen)

2,95 €
Extrait : — Il fait une chaleur intolérable ! Et dire que tu as eu l'idée ridicule de venir ici et de choisir cette table en plein soleil, s'écria d'une voix acariâtre Mme Birkner, née von Castelat. — Une idée ridicule ! Vraiment ? Les enfants voulaient se baigner, toi aussi d'ailleurs, et vous trouvez qu'il y a trop de monde sur la plage et aux bains d'Undosa, tu te plains toujours de la chaleur ! Je ne connais pas à Starnberg d'autres lieux où l'on puisse se baigner. Mais si tu veux partir, cela m'est égal. Appelle les enfants, répondit M. Birkner exaspéré par les continuelles récriminations de son épouse. — Ah ! tu as le chic pour gâcher les vacances ! lui lança-t-elle, furieuse, en se levant pour aller à la recherche de ses filles. La mine renfrognée, Werner Birkner la suivit des yeux. Pour lui, une chose était certaine : ce n'était évidemment pas lui qui avait le « chic » pour gâcher les vacances !…

Poupah l'éléphant et autres histoires de bêtes qu'on dit sauvages (André Demaison)

4,50 €
Voici une nouvelle série d'«histoires de bêtes qu'on dit sauvages ». Sauvage ce Poupah qui s'habitua si bien aux manières des hommes qu'il avait peur, seul, le soir dans la brousse ? Sauvages, les deux lionceaux qui, imbus de la majesté de leur race, brisaient les barreaux de la cage où ils voyageaient pour aller s'installer dans un compartiment de première classe ?…

N° 254 - Claudia (Johannes Udhen)

2,95 €
Extrait : — Il fait une chaleur intolérable ! Et dire que tu as eu l'idée ridicule de venir ici et de choisir cette table en plein soleil, s'écria d'une voix acariâtre Mme Birkner, née von Castelat. — Une idée ridicule ! Vraiment ? Les enfants voulaient se baigner, toi aussi d'ailleurs, et vous trouvez qu'il y a trop de monde sur la plage et aux bains d'Undosa, tu te plains toujours de la chaleur ! Je ne connais pas à Starnberg d'autres lieux où l'on puisse se baigner. Mais si tu veux partir, cela m'est égal. Appelle les enfants, répondit M. Birkner exaspéré par les continuelles récriminations de son épouse. — Ah ! tu as le chic pour gâcher les vacances ! lui lança-t-elle, furieuse, en se levant pour aller à la recherche de ses filles. La mine renfrognée, Werner Birkner la suivit des yeux. Pour lui, une chose était certaine : ce n'était évidemment pas lui qui avait le « chic » pour gâcher les vacances !…

La nouvelle arche de Noé (André Demaison)

6,95 €
Extrait : LA GOELETTE EN DERIVE Les hommes ne sont pas tellement nombreux, qui ont pu vivre leurs lectures d'enfance transposées dans la réalité. Quand je me vois coiffé d'un feutre à larges bords, vêtu de toile kakie et pieds nus dans des espadrilles à vingt-six sous, arpentant le pont de ma goélette jusqu'au moment où, fatigué de refaire sans cesse les mêmes trente-cinq pas, je m'accroupis près de la barre, enfoncé dans la chaleur et la solitude, je me demande si je ne vais pas être de ceux qui réussissent leur tour de chance. Il est encore plus rare qu'un homme accomplisse sa destinée de bout en bout selon ses aptitudes et ses espoirs. Qu'il arrive, en pleine jeunesse, avec des muscles souples et un regard tout neuf, à réussir un passage de sa vie, c'est déjà pour lui une immense faveur. Je crois que je suis sur cette voie. Les plus beaux horizons d'Afrique m'appartiennent. A vingt-trois ans, je recommence déjà une nouvelle existence…

N° 1226 - L'injustice d'un père (Pierre Montanay)

3,05 €
Extrait : Sous le feuillage épais d'un tilleul centenaire, quatre personnages sont mollement étendus dans leurs chaises de toile, autour d'une petite table où figurent pêle-mêle le café et les liqueurs, les cendriers et la boîte de cigares. La chaleur intense de cette fin de juillet semble accabler ces deux couples de jeunes mariés qui somnolent à demi. L'heure sonne au clocher proche et fait tressauter Alain Givre. — Déjà une heure ! s'écrie-t-il, en se redressant… Ah ! je resterais volontiers ici… Qu'est-ce que je vais prendre pour aller jusqu'au tram ! Pas un brin d'ombre dans cette fournaise ! — Et pourquoi diable n'achetez-vous pas une auto ? demanda Philippe Belmont ; c'est tellement commode ! Alain sourit en haussant les épaules. — Pour vous, mon cher, qui voyagez par toute la France, je comprends, mais pour moi ?… Un modeste employé s'en allant au bureau en auto ! Je n'ai pas envie de me rendre ridicule…
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