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  • Auteurs: André Ray
  • Auteurs: Ernest Richard
  • Auteurs: Lorenz Froelich

copy of Monsieur Toc-Toc (P.-J. Stahl, Lorentz Froelich, Matthis)

7,64 €
Edité vers 1860, Monsieur Toc-Toc nous narre avec humour, second degré et un luxe de détails les états d'âme d'un jeune garçon en pleine querelle avec son chat, et qui cherche l'appui de son père. Un petit souci familial qui trouvera sa résolution dans la dégustation d'un sucre d'orge. Le tout est illustré de vignettes issues de gravures, petits tableaux vivants, précis et charmants. De 4 à 7 ans.

N° 185 - Les yeux de l'amour (André Ray) - Marlène DIETRICH en couverture

3,50 €
Les yeux de l'amour Roman d'amour inédit par André Ray Extrait : — Le rayon de papeterie, s'il vous plaît ? — Au fond et à droite, Monsieur. Michel suivit la direction qu'avait pointée le doigt de la vendeuse. Il était venu dans ce grand magasin de Bruxelles pour se procurer du papier à lettres. Le passage entre les rayons et les propositions était vraiment étroit, et le monde qui s'y engouffrait obligeait Michel d'avancer très lentement. Il mit un temps infini à trouver le rayon de papeterie. Mais cela ne faisait rien. Il avait le temps. Et puis, cette atmosphère de grand magasin, cette animation et ce murmure, l'éclairage aux tubes fluorescents, plaisaient à Michel. Il avait l'impression d'être dans une fourmilière humaine où tous travaillent, où tous se bousculent pour accomplir leur tâche…

N° 1188 - Puisque tu me fuis... (Ernest Richard)

3,74 €
Extrait : Dans les salons de l'Hôtel Impéria, le Comité général des Armateurs donnait, cette nuit-là, son grand bal annuel. Tout ce que le port de Rouen comptait de notabilités, haut commerce, haute industrie, armée, magistrature et arts, avait tenu à figurer dans cette assemblée extrêmement brillante. Deux jazz, secondés d'orchestres tango-rumba, alternaient à chaque coin de l'immense pièce où chatoyaient uniformes et toilettes… Au brouhaha discret des soirées de bonne compagnie, les arrivants tardifs devinaient en entrant qu'on atteignait à l'instant où, de l'apparat guindé du début, la fête passe à la gaieté aimable qui ne doit plus l'abandonner avant l'aube. On venait de distribuer les cotillons, amusant épisode qui permet au plus grave des capitaines de vaisseau ou colonels en retraite, au plus austère président de cour d'assises d'arborer sans rougir un casque de pompier à moins que ce ne soit un polo de groom !…
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