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  • Auteurs: Ange
  • Auteurs: Jean Glachant
  • Auteurs: Rebecca Brandewyne

N° 56 - Un amour défendu (Rebecca Brandewyne)

3,50 €
Lorsqu’il revient dans la ville de son enfance, Renzo Cassavettes n’est plus le petit Italien pauvre et rejeté de tous qu’il était autrefois. Journaliste réputé, il n’a plus rien à prouver à personne… sauf peut-être à ceux qui, douze ans plus tôt, l’ont accusé du meurtre de l’un de ses camarades et contraint à fuir loin des siens. Sauf aussi à la belle Sarah Kincaid, avec qui il a vécu un amour interdit à l’époque, et dont il est resté sans nouvelles depuis…  Mais son arrivée provoque bien des remous au sein de la petite communauté, où certains n’apprécient guère de voir revenir celui qui n’est à leurs yeux qu’un assassin. Comme pour leur donner raison, deux crimes sont commis, auxquels tout semble le lier. Et tandis que le piège se referme sur lui, Renzo découvre qu’il ne peut compter sur Sarah – Sarah qui ne l’a pas oublié elle non plus, et qui durant toutes ces années lui a caché un bouleversant secret…

L'Oeil des dieux (Ange)

3,54 €
Ils ont entre neuf et quatorze ans et sont divisés en bandes rivales : les Loups, les Ours et les Crazes. Ils sont vingt-neuf exactement, et vivent depuis toujours dans la Bulle, un lieu étrange et hermétiquement clos qui leur dispense nourriture et énergie. Depuis que les robots qui s'occupaient d'eux se sont immobilisés à jamais, ils passent leur temps à se faire la guerre, sous la conduite de Mina et Jeff. Mais un jour, les distributeurs de nourriture s'arrêtent de fonctionner et la Bulle protectrice se métamorphose en un piège mortel. Dès 11 ans.

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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