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  • Auteurs: Ange
  • Auteurs: May d'Alençon
  • Auteurs: Viane Meriel
Bibi-Coucou reprend la route (May d'Alençon) - Bibliothèque Rouge et Or Dauphine N° 176
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N° 176 - Bibi-Coucou reprend la route (May d'Alençon)

12,00 €
Aussi long que maigre, grand nez et larges oreilles, à longueur d'année, qu'il pleuve ou qu'il vente, sous le soleil ou sous la neige, Bibi-Coucou arpente les jolies routes de Normandie, en compagnie de Goret-Rose, son gentil cochonnet. Il est bon et serviable, et cependant très malicieux, aussi le voyons-nous toujours en quête de quelque bonne farce à jouer, sous la forme d'un service à rendre à de braves gens, ou d'une bonne leçon à donner à quelque méchant homme… À partir de 7 ans.

L'Oeil des dieux (Ange)

3,54 €
Ils ont entre neuf et quatorze ans et sont divisés en bandes rivales : les Loups, les Ours et les Crazes. Ils sont vingt-neuf exactement, et vivent depuis toujours dans la Bulle, un lieu étrange et hermétiquement clos qui leur dispense nourriture et énergie. Depuis que les robots qui s'occupaient d'eux se sont immobilisés à jamais, ils passent leur temps à se faire la guerre, sous la conduite de Mina et Jeff. Mais un jour, les distributeurs de nourriture s'arrêtent de fonctionner et la Bulle protectrice se métamorphose en un piège mortel. Dès 11 ans.

N° 401 - Annick et son corsaire (May d'Alençon)

4,56 €
Annick vit avec son grand-père, le douanier, et sa grand-mère, dans une petite maison perchée sur une falaise bretonne. Gaie et serviable, la fillette a beaucoup d'amis, mais Gildas, aussi vif et impétueux qu'elle est rêveuse et douce, est le seul à partager son grand secret. C'est surtout aux jours de tempête qu'Annick et Gildas songent aux 8o marins de l'Albatros, qui se perdit corps et biens dans les parages, voici quelque cent ans. Mais n'y avait-il pas un 81e marin, le commandant du bateau, dont on ne retrouva jamais la trace ?...

N° 1719 - L'imposteur (Viane Meriel)

3,74 €
Extrait : La secrétaire s'effaça pour laisser passer la femme. L'éditeur se tenait debout, près de son bureau. Il fit un pas vers la visiteuse, attendant qu'elle lui tendit la main, mais la femme demeurait indécise sur le pas de la porte qui venait de se refermer sur elle. Bertrand Russel lui désigna un fauteuil : — Madame… veuillez vous asseoir. Il prit la peine de lui avancer un siège, puis, contournant le bureau, reprit sa place sur le fauteuil tournant. Marie Rousseau s'était assise et regardait l'éditeur de ses grands yeux craintifs. Elle était très pâle et triturait nerveusement ses gants : — Je viens chercher la réponse pour mon manuscrit… finit-elle par dire d'une petite voix frêle. Bertrand Russel jouait avec un coupe-papier d'Agathe. Il leva sur Marie Rousseau son regard froid et esquissa un sourire qui voulait être encourageant : — Ah ! oui ? Rappelez-moi ce dont il s'agit. — C'est le manuscrit d'une pièce de théâtre : L'Amour que je t'ai donné . — Oui, oui… je crois me souvenir… Il s'agit d'une femme trompée qui…
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