Accueil

Accueil

Il y a 3 produits.

Affichage 1-3 de 3 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Amii Lorin
  • Auteurs: Anna Cleary
  • Auteurs: Francine Robert

N° 185 - Bonsoir, belle citadine (Amii Lorin)

2,15 €
Dirk considère Tina comme une femme d'affaires calculatrice et froide, prête à tout pour sauver sa boutique. Tina le tient pour un homme insensible, aux nombreuses conquêtes féminines. De surcroît elle lui reproche d'exercer sur elle une pression par le biais de son héritage. Comment pourraient-ils envisager un quelconque avenir ensemble ? Chacun a pourtant un besoin profond, irrationnel, inexplicable de l'autre... Depuis le jour où ils ont fait l'amour, cinq ans plus tôt.

N° 3320 - Coup de foudre au bureau : Un séducteur pour patron (Anna Cleary)

2,56 €
Le coup de foudre peut frapper partout... même au bureau ! A peine engagée, Mirandi découvre avec stupeur que son nouveau patron n’est autre que Joe Sinclair. Joe qu’elle n’a pas revu depuis des années, depuis qu’il l’a quittée brutalement après quelques mois d’une liaison passionnée. Et si le jeune homme rebelle d’autrefois est devenu un homme d’affaires richissime, son regard lui, n’a pas changé. Toujours aussi sensuel et impérieux. Dire que dans le cadre de son nouveau travail, elle va devoir l’accompagner à une conférence sur la Riviera française ! Une perspective qui la plonge dans l’angoisse : ne devra-t-elle pas passer toutes ses journées en compagnie de Joe ? Sans parler des nuits interminables où elle devinera sa présence, tout près, dans la suite voisine de la sienne…

N° 1899 - Jamais l'amour n'a su compter (Francine Robert)

2,92 €
Extrait  : — Je suis certain, en tout cas, de faire un très mauvais chef d'entreprise, un industriel exécrable ! — A ton âge, mon petit Roland, on n'est certain de rien, permets-moi de te le dire ! Et les deux interlocuteurs s'étaient dressés de chaque côté du bureau ministre qui les séparait. Un petit panneau de plexiglas posé sur la surface polie du meuble apprenait, dès leur entrée, aux visiteurs, qu'ils se trouvaient en face de « Lucien Vaudé, directeur général ». Pour la première fois de sa vie, cet homme d'affaires accoutumé à ne trouver devant lui que docilité, obéissance passive, se heurtait à une volonté qui valait peut-être la sienne : celle de son fils unique, Roland. Ce dernier venait d'avoir vingt-deux ans et on employait habituellement, pour le décrire, trois adjectifs que venait renforcer le mot « très » : « …Très grand, très brun, très sympathique… »…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire