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Il y a 3 produits.

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  • Auteurs: Anna Cleary
  • Auteurs: Christina Crockett
  • Auteurs: Lili S. Junod

N° 47 - Le boucanier des mers (Christina Crockett)

2,95 €
La mer… Les bateaux… La nature… Pour réaliser son rêve, Natalie doit être engagée comme capitaine dans une entreprise de location de navires. Elle n'hésite pas à menacer son propriétaire, Ben Andress, de poursuites lorsqu'il refuse. Il ne va tout de même pas anéantir son plan si minutieusement prévu ! L'amour n'en faisait pas partie et pourtant… Natalie est fascinée par le sombre et mystérieux Ben. Malgré tout, elle se méfie de lui… et lui d'elle… A juste titre, semble-t-il, car l'arrivée de la jeune fille marque le début d'une série d'accidents bien étranges…

N° 3320 - Coup de foudre au bureau : Un séducteur pour patron (Anna Cleary)

2,56 €
Le coup de foudre peut frapper partout... même au bureau ! A peine engagée, Mirandi découvre avec stupeur que son nouveau patron n’est autre que Joe Sinclair. Joe qu’elle n’a pas revu depuis des années, depuis qu’il l’a quittée brutalement après quelques mois d’une liaison passionnée. Et si le jeune homme rebelle d’autrefois est devenu un homme d’affaires richissime, son regard lui, n’a pas changé. Toujours aussi sensuel et impérieux. Dire que dans le cadre de son nouveau travail, elle va devoir l’accompagner à une conférence sur la Riviera française ! Une perspective qui la plonge dans l’angoisse : ne devra-t-elle pas passer toutes ses journées en compagnie de Joe ? Sans parler des nuits interminables où elle devinera sa présence, tout près, dans la suite voisine de la sienne…

N° 1631 - La cavalière de minuit (Lili S. Junod)

3,74 €
Extrait : Juste Delrode vida sa pipe d'un geste familier en la toquant à petits coups secs contre le mur de l'âtre où rougeoyaient les derniers tisons. Son visage boucané par les intempéries, la vie en plein air, les épreuves des dernières années de guerre, reflétait une expression maussade, accentuant la dureté du regard enfoncé et des lèvres minces qui jamais ne souriaient. Sa femme, la Maria, effacée, humble, toujours craintive devant ce maître redouté qui, jadis, l'avait choisie pour sa beauté, alors qu'elle n'était qu'une pauvre orpheline élevée par les soeurs, épiait en tremblant les signes de contrariété silencieuse qu'elle voyait figer les traits de Juste. Sa bonne figure douce gardait malgré le temps et l'âge une finesse exquise, le même bleu pur des yeux, un bleu de vitrail au soleil, étonnamment clair. Soudain tonna la voix de son homme : — Dis donc, la Maria ! Sais-tu ben qu'not'fille a fait tant d'progrès qu'la maîtresse d'école voudrait qu'al aille finir d'étudier dans eun'ville de par ici ? Ça m'plaît point, j'te l'dis tout franc…
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