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  • Auteurs: Anna Cleary
  • Auteurs: Léopold Remon
  • Auteurs: Pierdomenico Baccalario
Ulysse Moore T4 : L'île aux masques - Pierdomenico Baccalario - Bayard jeunesse
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Ulysse Moore T4 : L'île aux masques (Pierdomenico Baccalario)

4,90 €
Jason, Julia et Rick embarquent pour de nouvelles aventures… Direction : la Venise du XVIIIe siècle ! Ils sont à la recherche de Peter Dedalus, l'horloger de Kilmore Cove. Lui seul connaît le moyen de contrôler toutes les portes du temps. L'inventeur a franchi la porte de la Maison aux miroirs et se cache quelque part dans la Cité des Doges. Les trois enfants doivent faire vite : l'impitoyable Olivia Newton est déjà sur ses traces... Avant toute chose, il leur faudra découvrir la véritable identité du mystérieux Gondolier Noir, dont personne ne semble avoir entendu parler… C'est le quatrième volume d'Ulysse Moore, qui fait suite aux Clefs du Temps (I), à La Boutique des Cartes Perdues (II) et à La Maison aux miroirs (III).

N° 3320 - Coup de foudre au bureau : Un séducteur pour patron (Anna Cleary)

2,56 €
Le coup de foudre peut frapper partout... même au bureau ! A peine engagée, Mirandi découvre avec stupeur que son nouveau patron n’est autre que Joe Sinclair. Joe qu’elle n’a pas revu depuis des années, depuis qu’il l’a quittée brutalement après quelques mois d’une liaison passionnée. Et si le jeune homme rebelle d’autrefois est devenu un homme d’affaires richissime, son regard lui, n’a pas changé. Toujours aussi sensuel et impérieux. Dire que dans le cadre de son nouveau travail, elle va devoir l’accompagner à une conférence sur la Riviera française ! Une perspective qui la plonge dans l’angoisse : ne devra-t-elle pas passer toutes ses journées en compagnie de Joe ? Sans parler des nuits interminables où elle devinera sa présence, tout près, dans la suite voisine de la sienne…

N° 1696 - Sa vraie maman ! (Léopold Remon)

2,92 €
Extrait : C'était une pauvre demeure que celle où la vieille Marie Méry se mourait. Une grande pièce au sol dallé, une alcôve et un petit réduit où l'on gardait quelques provisions, composaient le modeste intérieur. Des bouquets d'oignons suspendus décoraient les poutres. La vaste cheminée, quelques misérables meubles ornaient la pièce principale qui s'ouvrait de plain-pied sur le jardinet. Parfois, deux ou trois poules effrontées s'aventuraient jusqu'à la paillasse où dormait Pierrette. C'était toute la basse-cour de Marie Méry qui nourrissait ces volatiles de quelques miettes, et leur laissait le soin de dénicher dans les champs d'alentour le plus clair de leur subsistance. Pauvre, Marie Méry l'était, mais à la façon indifférente des vieilles paysannes qui savent côtoyer la misère sans tomber dans le sordide. Elle ne possédait aucun bien, n'avait ni bétail, ni terre. Et la maison ne lui appartenait qu'en vertu de son abandon dont elle avait su profiter depuis si longtemps…

N° 1714 - Personne au monde... (Léopold Rémon)

3,74 €
Extrait : Quand Charles Bocham pénétra dans son bureau, le scribe indigène était déjà au travail. Le jeune homme bourra sa pipe, déplaça quelques dossiers, prit un roman policier. C'était vraiment un emploi de tout repos. L'employé maori se chargeait des paperasses et s'en tirait fort bien tout seul. Pourtant, le règlement prévoyait que le titulaire du poste devait être licencié en droit. Voilà pourquoi, depuis trois ans, Charles Bocham avait quitté la France. Trois ans ! Il avait débarqué à Tahiti comme Alice au pays des merveilles. C'était presque trop beau, trop colorié. L'air était trop doux, les parfums trop sucrés, la mer et le ciel trop bleus. Mais avec le temps, les couleurs s'étaient ternies, les parfums fanés. Aujourd'hui, Charles Bocham crevait d'ennui. Même la prochaine venue de sa fiancée ne parvenait pas à le tirer de sa lassitude. Le bateau, actuellement, devait franchir le canal de Panama. Il lui faudrait dix-huit jours avant de pénétrer dans la rade de Papeete. Ce délai parût soudain formidablement long à Charles Bocham, plus long que les trois années pendant lesquelles il avait attendu, tout d'abord, sa titularisation, constitué ensuite un petit pécule pour monter son ménage. A présent que le but était en vue, il se rendait compte qu'il n'en pouvait plus, que sa chair et son âme se refusaient à prolonger l'épreuve…
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