Accueil

Accueil

Il y a 4 produits.

Affichage 1-4 de 4 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Anna Luchs
  • Auteurs: Annette Broadrick
  • Auteurs: Brigitte Companys

Je fais ma valise toute seule (Brigitte Luciani, Anna Luchs)

5,40 €
Sais-tu faire ta valise ? D'abord, il faut commencer par le plus important : pour moi, c'est mon Nounours. Mais ensuite, que faut-il mettre d'autre ?  Tu as une idée ? Eh bien moi, j'ai un truc ! Grâce à cela, tu vas voir comme c'est amusant de faire sa valise ! A toi de trouver aussi tout ce que j'ai mis dans la mienne.

N° 1379 - Au nom du passé (Annette Broadrick)

2,15 €
Quand Rafe McCaine le solitaire, spécialiste de la survie en conditions extrêmes, revient à l’appel de son ami Dan dans le ranch d’où il a été chassé douze ans auparavant, tout un passé qu’il croyait révolu lui saute au visage. Car son amour pour Mandy, la sœur de Dan, ne s’est pas effacé, pas plus que les blessures de son enfance et de son adolescence fugueuses. Mais il doit affronter tout cela. Au nom de l’amitié qui le pousse à venir en aide à Dan, disparu dans des circonstances mystérieuses. Au nom de ce qui aurait pu être et qui l’oblige à refaire le chemin dans l’autre sens et à découvrir que l’amour a encore droit de cité dans sa vie.

N° 551 - Les mariés de l'hacienda (Annette Broadrick)

2,06 €
Au Mexique, on ne transige pas avec l'honneur des filles. Aussi, depuis que son frère l'avait surprise en compagnie de Cody Callaway, Carina Ramirez attendait-elle avec inquiétude les conséquences de ce désagréable incident. Et ce soir, tandis qu'elle évoluait dans l'hacienda somptueusement éclairée et bourdonnant d'une foule d'invités, elle se demandait quelle mauvaise surprise lui réservait son frère. Car ce bal, qu'il lui offrait sans lui expliquer pourquoi, ne pouvait que préparer un coup de théâtre. Et les airs embarrassés de Cody Callaway laissaient présager le pire...

N° 1713 - Vagabond de ses rêves (Brigitte Companys)

3,74 €
Extrait : Le premier soleil parut en haut de la colline. Il effleura d'un trait vermeil la pointe verte des cyprès, s'allongea sur la pente où les oliviers de déployaient en troupe somptueuse et désordonnée, gagna la route qui s'étirait, claire, entre les ceps. Il parut avancer à pas hésitants, comme un nouveau-né… Mais déjà, dans les combes fraîches, sur les sentes où un peu de nuit bleue s'attardait sous les taillis épais, sa lumière tendre s'insinuait, insensiblement, victorieusement. En déroute, les dernières ombres s'évanouirent, semblèrent rentrer dans la terre, disparaître. Le jour fut là… Alors, la rivière qui faisait, lente, entre les saules, se mit, sembla-t-il à accélérer son mouvement comme si elle avait, elle aussi, à imiter l'effervescence de la nature en éveil : tous les oiseaux qui s'égosillaient dans les branches, les feuilles qui frémissaient plus fort, les poules qui se précipitaient vers l'auge au grains dorés, le marteau du maréchal-ferrant qui arrachait de sourds gémissements à son enclume maltraitée, le charivari  des bidons de lait sur la voiturette de la laitière…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire