Accueil

Accueil

Il y a 3 produits.

Affichage 1-3 de 3 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Anna Luchs
  • Auteurs: Jayne Addison
  • Auteurs: Jean Vignaud

Un bonheur ne vient jamais seul (Jayne Addison)

2,95 €
Quand Quinn Barnett avait rencontré Teddy Falco dans le cadre idyllique de Saint-Thomas, dans les îles Vierges, le coup de foudre avait été immédiat. Emportés dans un tourbillon de fièvre et de passion, ils s'étaient aimés à la folie, jour après jour, nuit après nuit, allant même jusqu'à se marier pour exclure à jamais toute idée de séparation. Et puis, il avait bien fallu rentrer à New York. Là, le quotidien avait de nouveau imprimé sa marque, impitoyable. Et la magie n'avait plus opéré. Quinn et Teddy s'étaient soudain rendu compte que tout les séparait. Leur éducation, leur milieu social, leurs goûts, leurs métiers… Ils avaient divorcé et s'étaient séparés. Jusqu'au jour où Quinn s'aperçoit qu'elle est enceinte. Certes, c'est son rêve le plus cher qui se réalise, mais comment Teddy va-t-il accueillir cette nouvelle ?

Je fais ma valise toute seule (Brigitte Luciani, Anna Luchs)

5,40 €
Sais-tu faire ta valise ? D'abord, il faut commencer par le plus important : pour moi, c'est mon Nounours. Mais ensuite, que faut-il mettre d'autre ?  Tu as une idée ? Eh bien moi, j'ai un truc ! Grâce à cela, tu vas voir comme c'est amusant de faire sa valise ! A toi de trouver aussi tout ce que j'ai mis dans la mienne.

La maison du maltais (Jean Vignaud) - Collection Gründ illustrée N° 16

4,50 €
Extrait : Chapitre VII Le matin jeta dans la rue un autre Matteo, un Matteo impatient, qui, dans sa hâte de se mettre au travail, bouscula sans le reconnaître le fumigateur dont l'encens parfumé de benjoin distribue, pour la semaine, du bonheur dans chaque maison. Franchie la Porte de la mer, il enleva ses sandales pour courir plus vite vers le quai aux phosphates. Il avait suffi d'une nuit d'amour pour opérer ce miracle. Jamais Matteo n'avait connu semblables délices ; certains mots l'exaltaient encore comme si Safia eût été présente. Lui, pauvre portefaix, avait été salué par cette beauté des îles comme un prophète « Ia Robbi, Ia Allah, ô mon maître, ô mon Dieu ! » Safia entre ses bras avait soupiré ces paroles, le corps palpitant comme celui d'un pigeon qu'on étouffe. Et c'est pour réentendre ces mots, ces soupirs, qu'il lui fallait de l'argent. Il voulait, tout comme les notables qui cachaient des fortunes derrière leurs haies de tabias, dans la banlieue sfaxienne, pouvoir parer sa maîtresse, l'étourdir de cadeaux. Fini, désormais, le temps où Matteo musait d'une barque à l'autre, criblant de ses quolibets Maltais et Siciliens ; finies, les flâneries chez Gordina, les siestes sur le sable chaud du chenal. Tout cela était le passé, un cadavre que Safia avait piétiné de ses petits talons marqués de henné…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire