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  • Auteurs: Anna Luchs
  • Auteurs: Janis Flores
  • Auteurs: Léopold Remon

La dynastie des DeWilde T6 : Le bonheur en jeu (Janis Flores) - L'amour triomphant (Jasmine Cresswell)

3,95 €
Ils sont riches, puissants, influents, mais des secrets de famille menacent leur empire. Le bonheur en jeu (Janis Flores) Chargé par Jeffrey DeWilde de retrouver les joyaux manquant à la collection familiale, Nick Santos touche au but. Tous les indices accumulés au fil de son enquête convergent en effet vers un seul et même lieu : San Francisco. C'est là aussi que l'attendent deux femmes bien décidées à lui compliquer la tâche. Grace, la femme de Jeffrey, qui espère retrouver la première les bijoux et regagner ainsi l'amour de son mari. Et Kate, la benjamine des DeWilde, qui juge ses méthodes pour le moins expéditives… et ne se prive pas de le lui dire ! Mais Nick a du mal à lui en tenir rigueur car, au-delà de l'hostilité que la jeune femme lui témoigne, il devine chez elle un tempérament aussi brûlant que le sien ! L'amour triomphant (Jasmine Cresswell) Julia Dutton, jeune professeur de français discrète et sérieuse, et Michael Forrest, incorrigible et richissime play-boy, se sont croisés à plusieurs reprises et, chaque fois, cordialement détestés. Dans leur entourage, on espère que la naissance un peu prématurée du premier bébé DeWilde de la nouvelle génération, qui va les réunir à nouveau, les forcera à réviser leur jugement. Un souhait valable aussi pour Jeffrey et Grace DeWilde qui, après s'être tant aimés, trompés, déchirés, vont peut-être enfin se rendre compte qu'ils ne peuvent pas vivre l'un sans l'autre…

Je fais ma valise toute seule (Brigitte Luciani, Anna Luchs)

5,40 €
Sais-tu faire ta valise ? D'abord, il faut commencer par le plus important : pour moi, c'est mon Nounours. Mais ensuite, que faut-il mettre d'autre ?  Tu as une idée ? Eh bien moi, j'ai un truc ! Grâce à cela, tu vas voir comme c'est amusant de faire sa valise ! A toi de trouver aussi tout ce que j'ai mis dans la mienne.

N° 1696 - Sa vraie maman ! (Léopold Remon)

2,92 €
Extrait : C'était une pauvre demeure que celle où la vieille Marie Méry se mourait. Une grande pièce au sol dallé, une alcôve et un petit réduit où l'on gardait quelques provisions, composaient le modeste intérieur. Des bouquets d'oignons suspendus décoraient les poutres. La vaste cheminée, quelques misérables meubles ornaient la pièce principale qui s'ouvrait de plain-pied sur le jardinet. Parfois, deux ou trois poules effrontées s'aventuraient jusqu'à la paillasse où dormait Pierrette. C'était toute la basse-cour de Marie Méry qui nourrissait ces volatiles de quelques miettes, et leur laissait le soin de dénicher dans les champs d'alentour le plus clair de leur subsistance. Pauvre, Marie Méry l'était, mais à la façon indifférente des vieilles paysannes qui savent côtoyer la misère sans tomber dans le sordide. Elle ne possédait aucun bien, n'avait ni bétail, ni terre. Et la maison ne lui appartenait qu'en vertu de son abandon dont elle avait su profiter depuis si longtemps…

N° 1714 - Personne au monde... (Léopold Rémon)

3,74 €
Extrait : Quand Charles Bocham pénétra dans son bureau, le scribe indigène était déjà au travail. Le jeune homme bourra sa pipe, déplaça quelques dossiers, prit un roman policier. C'était vraiment un emploi de tout repos. L'employé maori se chargeait des paperasses et s'en tirait fort bien tout seul. Pourtant, le règlement prévoyait que le titulaire du poste devait être licencié en droit. Voilà pourquoi, depuis trois ans, Charles Bocham avait quitté la France. Trois ans ! Il avait débarqué à Tahiti comme Alice au pays des merveilles. C'était presque trop beau, trop colorié. L'air était trop doux, les parfums trop sucrés, la mer et le ciel trop bleus. Mais avec le temps, les couleurs s'étaient ternies, les parfums fanés. Aujourd'hui, Charles Bocham crevait d'ennui. Même la prochaine venue de sa fiancée ne parvenait pas à le tirer de sa lassitude. Le bateau, actuellement, devait franchir le canal de Panama. Il lui faudrait dix-huit jours avant de pénétrer dans la rade de Papeete. Ce délai parût soudain formidablement long à Charles Bocham, plus long que les trois années pendant lesquelles il avait attendu, tout d'abord, sa titularisation, constitué ensuite un petit pécule pour monter son ménage. A présent que le but était en vue, il se rendait compte qu'il n'en pouvait plus, que sa chair et son âme se refusaient à prolonger l'épreuve…
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