Accueil

Accueil

Il y a 5 produits.

Affichage 1-5 de 5 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Anna Luchs
  • Auteurs: Lindsay Armstrong
  • Auteurs: Léopold Remon

Je fais ma valise toute seule (Brigitte Luciani, Anna Luchs)

5,40 €
Sais-tu faire ta valise ? D'abord, il faut commencer par le plus important : pour moi, c'est mon Nounours. Mais ensuite, que faut-il mettre d'autre ?  Tu as une idée ? Eh bien moi, j'ai un truc ! Grâce à cela, tu vas voir comme c'est amusant de faire sa valise ! A toi de trouver aussi tout ce que j'ai mis dans la mienne.

N° 3156 - Troublantes apparences (Lindsay Armstrong)

2,95 €
Lorsqu'elle fait la connaissance du célèbre milliardaire Brett Wyndham à une soirée de bienfaisance, Holly est tout de suite agacée par cet homme arrogant, visiblement convaincu qu'elle n'est qu'une mondaine écervelée, et qui s'adresse à elle avec une hostilité mal dissimulée. Mais au moment où elle s'apprête à couper court à la conversation, Holly hésite. Et si elle tenait là une occasion unique d'obtenir des informations sur ce puissant homme d'affaires qui règne sur Brisbane, et qui refuse obstinément de dévoiler le moindre détail sur sa vie privée ?

N° 2166 - Une singulière proposition (Lindsay Armstrong)

2,56 €
Lorsqu'elle rencontre Lleyton Dexter, le beau et séduisant directeur de la Clover Company, la jeune publicitaire Vivian Florey n'en croit pas ses oreilles. Non seulement Dexter lui propose de prêter son visage à la future campagne de publicité de la firme, mais il lui soumet aussi une autre idée — une proposition honnête, souligne-t-il : passer une semaine en sa compagnie et, en présence de toute la famille réunie dans la somptueuse demeure de Harvest Moon, jouer le rôle de sa fiancée. En tout bien tout honneur, bien sûr... Avec, à la clé, deux gros contrats pour la société de publicité qu'elle représente. Est-ce de l'imprudence, de l'audace ? Vivian accepte de se prêter au jeu — lequel va se révéler beaucoup plus risqué que prévu. Car non seulement Lleyton se montre dangereusement attirant, mais la jeune femme accumule les gaffes, enchaîne les malentendus, tandis que, dans l'ombre, l'ex-épouse de Lleyton veille, prête à tout pour reconquérir son bien.

N° 1696 - Sa vraie maman ! (Léopold Remon)

2,92 €
Extrait : C'était une pauvre demeure que celle où la vieille Marie Méry se mourait. Une grande pièce au sol dallé, une alcôve et un petit réduit où l'on gardait quelques provisions, composaient le modeste intérieur. Des bouquets d'oignons suspendus décoraient les poutres. La vaste cheminée, quelques misérables meubles ornaient la pièce principale qui s'ouvrait de plain-pied sur le jardinet. Parfois, deux ou trois poules effrontées s'aventuraient jusqu'à la paillasse où dormait Pierrette. C'était toute la basse-cour de Marie Méry qui nourrissait ces volatiles de quelques miettes, et leur laissait le soin de dénicher dans les champs d'alentour le plus clair de leur subsistance. Pauvre, Marie Méry l'était, mais à la façon indifférente des vieilles paysannes qui savent côtoyer la misère sans tomber dans le sordide. Elle ne possédait aucun bien, n'avait ni bétail, ni terre. Et la maison ne lui appartenait qu'en vertu de son abandon dont elle avait su profiter depuis si longtemps…

N° 1714 - Personne au monde... (Léopold Rémon)

3,74 €
Extrait : Quand Charles Bocham pénétra dans son bureau, le scribe indigène était déjà au travail. Le jeune homme bourra sa pipe, déplaça quelques dossiers, prit un roman policier. C'était vraiment un emploi de tout repos. L'employé maori se chargeait des paperasses et s'en tirait fort bien tout seul. Pourtant, le règlement prévoyait que le titulaire du poste devait être licencié en droit. Voilà pourquoi, depuis trois ans, Charles Bocham avait quitté la France. Trois ans ! Il avait débarqué à Tahiti comme Alice au pays des merveilles. C'était presque trop beau, trop colorié. L'air était trop doux, les parfums trop sucrés, la mer et le ciel trop bleus. Mais avec le temps, les couleurs s'étaient ternies, les parfums fanés. Aujourd'hui, Charles Bocham crevait d'ennui. Même la prochaine venue de sa fiancée ne parvenait pas à le tirer de sa lassitude. Le bateau, actuellement, devait franchir le canal de Panama. Il lui faudrait dix-huit jours avant de pénétrer dans la rade de Papeete. Ce délai parût soudain formidablement long à Charles Bocham, plus long que les trois années pendant lesquelles il avait attendu, tout d'abord, sa titularisation, constitué ensuite un petit pécule pour monter son ménage. A présent que le but était en vue, il se rendait compte qu'il n'en pouvait plus, que sa chair et son âme se refusaient à prolonger l'épreuve…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire