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  • Auteurs: Anne-Marie Delfour
  • Auteurs: Jean Glachant
  • Auteurs: Michael Smith
Un flirt et un amour (Anne-Marie Delfour) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1576

N° 1576 - Un flirt et un amour (Anne-Marie Delfour)

3,56 €
Extrait : Le directeur du théâtre Bruce, alluma gravement un Diplomate, et considéra attentivement la jeune fille qui se tenait devant lui, très émue, toute menue dans son costume de scène. — « Mademoiselle Longet, je vous ai fait prier de venir me voir, pour vous proposer une affaire intéressante. Veuillez vous asseoir… » Viviane Longet respira plus librement, rassurée…
Enlevés ! (Michael Smith) - Le livre de poche N° 411

Enlevés ! (Michael Smith) - Le livre de poche N° 411

2,15 €
Pour Nick et Sue Millward, cet été serait un peu plus excitant que les autres : ils partaient au Soudan rejoindre leur père, le temps des vacances, sur un chantier de forage. Dans le campement paisible, ils découvrent peu à peu une nature inconnue et splendide. Puis un matin, c'est le drame : des révolutionnaires soudanais surgissent et enlèvent toute la famille. Les Millward sont devenus des otages, de précieux otages dont la vie se négociera un bon prix. Séparés de leurs parents, terrifiés, coupés de tout, Nick et Sue vont être les prisonniers d'une tribu dinka pendant des semaines, des mois. Ils apprendront une autre vie, d'autres réflexes, d'autres modes de pensée. D'une expérience cruelle et violente, deux enfants intelligents et courageux vont savoir faire une grande et enrichissante aventure… A partir de 12 ans
Nuit de folie... (Jean Glachant) - Le Petit Livre Ferenczi N° 925

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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