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  • Auteurs: Alec d'Ayrolles
  • Auteurs: Anne-Marie Passaret

Contes russes : Les fileuses d'or (Anne-Marie Passaret)

2,96 €
La Russie de Baba-Yaga, l'effroyable sorcière, est un pays terrible où les isbas se déplacent sur de gigantesques pattes de poules à travers les forêts de bouleaux. Un pays de neige où sévit l'épouvantable Poucet-à-a-barbe mais où l'on peut échapper aux plus terribles dangers si l'on possède la force d'Ivan Tête-pis ou le cheval d'Ivan la Souche. La Russie de Baba-Yaga, c'est aussi un pays magnifique où les princes comprennent le langage des oiseaux, où le mouchoir de Lioudmila flamboie dans la nuit comme un incendie. Et, quand vous lirez Pomme sucrée sur un plat doré , vous vous croirez dans Peau d'Âne . — Mais toi, ma petite fille, tu ne me demandes rien ? Que veux-tu que je t'achète ? — Je n'ai besoin de rien. — Comment cela, tes soeurs me demandent de leur rapporter des robes de soie, et toi tu ne veux rien ! — Alors papa, si tu veux, achète-moi… Mais si l'histoire de Tania et de sa pomme commence comme celle de Peau d'Âne , si elle est aussi belle que celle de Peau d'Âne , ce n'est pas du tout Peau d'Âne , et cette histoire vous ne l'avez jamais entendue.

N° 1545 - Le gardien du bonheur (Alec D'Ayrolles)

3,74 €
Extrait : Tout ce que l'île comptait de valide - hommes, femmes, enfants ou vieillards - était massé autour de la crique, pour suivre la « compétition » ; c'est dire qu'il n'y avait, pratiquement, personne dans les maisons, car les habitants de Motu-Ahi ne sont pour ainsi dire jamais malades (il n'y a même pas de médecin dans l'île : on en a fait venir un, dans les cas extrêmes, de Papeete) ; ils atteignent facilement un âge biblique, puis, un beau jour, jugeant qu'il serait indiscret d'encombrer plus longtemps la famille de leur inutile personne, ils s'endorment à jamais. Oui, les Motu-Ahiens (c'est ainsi, je pense, qu'il convient de nommer les « naturels » de l'île) vivent vieux, et ils vivent heureux, en profitant de l'éternel printemps du climat polynésien et en se contentant, avec sagesse, des poissons qui viennent tout seuls dans les filets, du gibier qui veut bien se suicider dans les pièges, et les fruits — oranges, bananes, noix de coco et mayorés … — qui poussent en telle abondance qu'il suffit de s'amuser à grimper aux arbres pour en avoir non seulement assez pour son propre ravitaillement mais, même pour en exporter un peu…
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