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  • Auteurs: Anne-Marie Passaret
  • Auteurs: Hubert Ben Kemoun
  • Auteurs: Yves Combot

Ma mère m'épuise (Hubert Ben Kemoun) - Le livre de poche N° 696

2,74 €
Mélusine est dans tous ses états : son petit ami, Bruno, vient de lui annoncer qu'il la quitte. Mais c'est compter sans sa mère, championne des déboires en tout genre ! Mélusine lui promet toujours de trouver une solution à ses problèmes. « Ma mère m'épuise », voilà le slogan que Mélusine pourrait écrire sur les murs de la ville, à la place des slogans racistes qui s'y trouvent. Mais quelqu'un d'autre a déjà pris la place… À partir de 12 ans

Contes russes : Les fileuses d'or (Anne-Marie Passaret)

2,96 €
La Russie de Baba-Yaga, l'effroyable sorcière, est un pays terrible où les isbas se déplacent sur de gigantesques pattes de poules à travers les forêts de bouleaux. Un pays de neige où sévit l'épouvantable Poucet-à-a-barbe mais où l'on peut échapper aux plus terribles dangers si l'on possède la force d'Ivan Tête-pis ou le cheval d'Ivan la Souche. La Russie de Baba-Yaga, c'est aussi un pays magnifique où les princes comprennent le langage des oiseaux, où le mouchoir de Lioudmila flamboie dans la nuit comme un incendie. Et, quand vous lirez Pomme sucrée sur un plat doré , vous vous croirez dans Peau d'Âne . — Mais toi, ma petite fille, tu ne me demandes rien ? Que veux-tu que je t'achète ? — Je n'ai besoin de rien. — Comment cela, tes soeurs me demandent de leur rapporter des robes de soie, et toi tu ne veux rien ! — Alors papa, si tu veux, achète-moi… Mais si l'histoire de Tania et de sa pomme commence comme celle de Peau d'Âne , si elle est aussi belle que celle de Peau d'Âne , ce n'est pas du tout Peau d'Âne , et cette histoire vous ne l'avez jamais entendue.

N° 714 - Cités lacustres (Yves Combot)

5,90 €
Extrait : Un soir de printemps, tendre et doux, tissait sur le pays des lacustres son réseau d'ombre légère. Au pied des hautes montagnes qui les bordaient au sud d'une infranchissable barrière, les « Trois-Lacs » étendaient, sous un ciel d'azur pâle, leurs eaux calmes, profondes et fraîches. Par-dessus la chaîne des basses collines du couchant, un soleil rouge empourprait l'eau où les palafittes du lac de Stag-led — le plus beau des trois lacs, — formaient un îlot long et peu large que les jeux clairs de l'onde, sous les pilotis, semblaient faire bizarrement flotter. Les fumées du soir montaient des huttes de bois et de chaume ; des enfants se poursuivaient bruyamment sur les plates-formes de troncs et de glaise et des jeunes filles, assises jambes pendantes au-dessus de l'eau, chantaient des chants graves et beaux. Accroupies sur leur seuil, des femmes broyaient, pour le dernier repas du jour, des graines de blé et de seigle dans des mortiers de pierre…
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