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  • Auteurs: Anne-Marie Passaret
  • Auteurs: Léopold Remon
  • Auteurs: Marah Woolf

Contes russes : Les fileuses d'or (Anne-Marie Passaret)

2,96 €
La Russie de Baba-Yaga, l'effroyable sorcière, est un pays terrible où les isbas se déplacent sur de gigantesques pattes de poules à travers les forêts de bouleaux. Un pays de neige où sévit l'épouvantable Poucet-à-a-barbe mais où l'on peut échapper aux plus terribles dangers si l'on possède la force d'Ivan Tête-pis ou le cheval d'Ivan la Souche. La Russie de Baba-Yaga, c'est aussi un pays magnifique où les princes comprennent le langage des oiseaux, où le mouchoir de Lioudmila flamboie dans la nuit comme un incendie. Et, quand vous lirez Pomme sucrée sur un plat doré , vous vous croirez dans Peau d'Âne . — Mais toi, ma petite fille, tu ne me demandes rien ? Que veux-tu que je t'achète ? — Je n'ai besoin de rien. — Comment cela, tes soeurs me demandent de leur rapporter des robes de soie, et toi tu ne veux rien ! — Alors papa, si tu veux, achète-moi… Mais si l'histoire de Tania et de sa pomme commence comme celle de Peau d'Âne , si elle est aussi belle que celle de Peau d'Âne , ce n'est pas du tout Peau d'Âne , et cette histoire vous ne l'avez jamais entendue.

Les brumes d'Avallach (Marah Woolf)

7,48 €
Après le décès de sa mère, Emma, dix-sept ans, quitte les États-Unis pour rejoindre la seule famille qui lui reste sur la petite île de Skye en Écosse. Là-bas, elle rencontre Calum, un étrange jeune homme. Tour à tour prévenant et glacial, il semble cacher un secret inavouable. Ce que l’adolescente ignore, c’est qu’en se rapprochant de lui elle les met tous les deux en danger de mort. Emma découvrira que les légendes des brumeux Highlands sont plus réelles et dangereuses qu’elle ne l’aurait imaginé. Et qu’avec Calum ils sont peut-être le dernier espoir de deux mondes que tout oppose.

N° 1696 - Sa vraie maman ! (Léopold Remon)

2,92 €
Extrait : C'était une pauvre demeure que celle où la vieille Marie Méry se mourait. Une grande pièce au sol dallé, une alcôve et un petit réduit où l'on gardait quelques provisions, composaient le modeste intérieur. Des bouquets d'oignons suspendus décoraient les poutres. La vaste cheminée, quelques misérables meubles ornaient la pièce principale qui s'ouvrait de plain-pied sur le jardinet. Parfois, deux ou trois poules effrontées s'aventuraient jusqu'à la paillasse où dormait Pierrette. C'était toute la basse-cour de Marie Méry qui nourrissait ces volatiles de quelques miettes, et leur laissait le soin de dénicher dans les champs d'alentour le plus clair de leur subsistance. Pauvre, Marie Méry l'était, mais à la façon indifférente des vieilles paysannes qui savent côtoyer la misère sans tomber dans le sordide. Elle ne possédait aucun bien, n'avait ni bétail, ni terre. Et la maison ne lui appartenait qu'en vertu de son abandon dont elle avait su profiter depuis si longtemps…

N° 1714 - Personne au monde... (Léopold Rémon)

3,74 €
Extrait : Quand Charles Bocham pénétra dans son bureau, le scribe indigène était déjà au travail. Le jeune homme bourra sa pipe, déplaça quelques dossiers, prit un roman policier. C'était vraiment un emploi de tout repos. L'employé maori se chargeait des paperasses et s'en tirait fort bien tout seul. Pourtant, le règlement prévoyait que le titulaire du poste devait être licencié en droit. Voilà pourquoi, depuis trois ans, Charles Bocham avait quitté la France. Trois ans ! Il avait débarqué à Tahiti comme Alice au pays des merveilles. C'était presque trop beau, trop colorié. L'air était trop doux, les parfums trop sucrés, la mer et le ciel trop bleus. Mais avec le temps, les couleurs s'étaient ternies, les parfums fanés. Aujourd'hui, Charles Bocham crevait d'ennui. Même la prochaine venue de sa fiancée ne parvenait pas à le tirer de sa lassitude. Le bateau, actuellement, devait franchir le canal de Panama. Il lui faudrait dix-huit jours avant de pénétrer dans la rade de Papeete. Ce délai parût soudain formidablement long à Charles Bocham, plus long que les trois années pendant lesquelles il avait attendu, tout d'abord, sa titularisation, constitué ensuite un petit pécule pour monter son ménage. A présent que le but était en vue, il se rendait compte qu'il n'en pouvait plus, que sa chair et son âme se refusaient à prolonger l'épreuve…
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