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  • Auteurs: Anne-Marie Pol
  • Auteurs: Anne Pierjean
  • Auteurs: Ariette Prêle

Aurore (Anne-Marie Pol) - Pocket N° 1600

2,15 €
Au royaume de son père, la danse est interdite, mais la Princesse Aurore est une rebelle ! Elle ne cesse de danser sous le regard complice de son frère Solal. Cela pourrait rester un simple jeu d'enfants, mais Aurore tombe amoureuse d'un garçon qui ne convient pas au Roi. La danse devient alors, pour elle, une façon de conquérir sa liberté…

Stève et le chien Sorcier (Anne Pierjean) - Castor Poche N° 286

2,74 €
Au cours d'une partie de pêche au bord de la Drôme, Stève et son inséparable ami Pat rencontrent Carême le clochard. Le vieil homme, qui vit dans une cabane au bord du fleuve avec son chien, Sorcier, fait de surprenantes révélations aux deux garçons. Il prétend posséder un trésor dont il serait le seul, avec son chien, à connaître la cachette. Quelques jours plus tard, Carême est victime d'une agression… Il faudra toute l'ingéniosité de Pat, de Stève, et de sa jeune soeur Sandrine pour éclaircir cette étrange affaire.

Le temps de Julie (Anne Pierjean) - Castor Poche N° 179

2,15 €
C'est à la Saint-Andéol, un soir de fête et de feu d'artifice, que Julie rencontre Raphaël. Quelques jours plus tard, Julie pédale joyeusement en direction de la ferme du Riou où vivent Raphaël et ses parents. Au bois de chênes, Raphaël lui demande de devenir sa femme et Julie, malgré ses dix-sept ans et les huit ans qui les séparent, accepte. Elle a confiance en la femme qu'elle sera. Les années de bonheur passent vite. Julie découvre avec Raphaël la joie d'attendre un enfant, elle a tout juste vingt ans. Mais la guerre éclate et Raphaël doit partir…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait  : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1884 - A la lumière de cet été (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : A l'heure de la sieste, la maisonnée tout entière plongeait dans le silence. Chacun était libre de dormir où il voulait : dans l'ombre de la sapinette sur les aiguilles de pins qui revêtaient la mousse d'une natte sèche et luisante, dans le fenil obscur plein de l'entêtante odeur des herbes rêches, dans l'ancienne magnanerie si l'on ne craignait pas les mouches ou dans la « chambre verte » que Sheila préférait à tout le reste. Mais elle arrivait rarement à s'annexer ce lieu de délices situé dans une aile inhabitée de la demeure, baignée de lumière glauque et de fraîcheur particulièrement favorables au sommeil : Delia et sa mère l'occupaient à tour de rôle, sauf cet après-midi là, puisque depuis le matin elles étaient parties faire des courses en ville. Sadi — le mari de Délia — Chris, le frère de Sheila et de Délia, Chad Maddelin enfin, le chef de la famille, allaient choir sur des couches improvisées aux alentours de la maison : sapinette, fenil, voire même bûcher ou buanderie quand il faisait très chaud comme aujourd'hui…
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