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  • Auteurs: Anne-Marie Pol
  • Auteurs: Daniel Defoe
  • Auteurs: Hélène Simart
La tendre rançon (Hélène Simart) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1949
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N° 1949 - La tendre rançon (Hélène Simart)

3,74 €
Extrait : Tatyanna (avec un « y ») d'Abrovkine (en deux mots) étira un bras paresseux hors de la couverture de soie, bâilla comme une chatte, en montrant ses petites dents parfaites pareilles à des perles, et appela d'une voix autoritaire. — Hélène ! mon courrier, mon jus de fruit, et donne-moi de la lumière, vite ! Une grande femme parut, vêtue de gris, avec un beau visage à peine touché par la quarantaine, calme et sage. — Quelle heure est-il, Hélène ? — Onze heures, Mademoiselle. Il y a déjà eu des coups de téléphone pour Mademoiselle. Des admirateurs, M. Martin, des demandes de toutes sortes… — Tu as tout noté ? — Naturellement, Mademoiselle. La jeune femme ébaucha un geste insouciant. — Nous verrons cela tout à l'heure. Donne toujours les lettres. — Il y a aussi des fleurs, dont une grande corbeille d'orchidées qui tient à peine dans le vestibule. — De qui ? Au fond, ça n'a pas d'importance…

Aurore (Anne-Marie Pol) - Pocket N° 1600

2,15 €
Au royaume de son père, la danse est interdite, mais la Princesse Aurore est une rebelle ! Elle ne cesse de danser sous le regard complice de son frère Solal. Cela pourrait rester un simple jeu d'enfants, mais Aurore tombe amoureuse d'un garçon qui ne convient pas au Roi. La danse devient alors, pour elle, une façon de conquérir sa liberté…

N° 614 - Robinson Crusoé - 2e partie (Daniel de Foe)

4,90 €
Extrait : J'étais maintenant dans la vingt-troisième année de ma résidence en cette île, et si accoutumé à y vivre que, sans ma continuelle crainte des sauvages, j'aurais été content d'y passer le reste de mes jours et, à la fin, de me coucher pour mourir, comme le vieux bouc dans la grotte. Mon perroquet vivait encore — je l'eus avec moi pendant vingt-six ans — et nous tenions ensemble de longues conversations familières, auxquelles je trouvais un grand charme. Mon chien aussi avait été pour moi un compagnon fidèle et cher pendant seize ans, au bout desquels il mourut de vieillesse. Pour mes chats, ils s'étaient tellement multipliés et étaient devenus si incommodes que, de peur qu'ils ne me dévorassent, j'avais été obligé d'en tuer plusieurs à coups de fusil ; les autres s'enfuirent dans les bois, où ils retournèrent à l'état sauvage, à l'exception de deux ou trois que je gardai près de moi…

N° 1966 - Le mystère du manoir (Hélène Simart)

3,95 €
Extrait : Onze heures… Les « hommes en blanc » passaient lentement devant les lits de fer, conduits par le chirurgien chef de Necker. Après une brève lecture des dossiers étalés au pied du lit, le professeur examinait le visage, tâtait le poignet fiévreux, scrutait le malade comme pour en surprendre les parcelles les plus intimes. Il éleva une radio jusqu'à hauteur de ses yeux, en pleine lumière. — Que pensez-vous de ceci ? La voix était brève, impersonnelle. La jeune fille à qui s'adressait la question prit calmement la radio des mains du chirurgien et l'examina à son tour. — Ptose accentuée du rein droit, fit-elle posément. Dilatation de l'uretère gauche, provoquant une sténose prononcée à la base. Crises fréquentes de pyélo-néphrite certainement. — Bien, Mademoiselle, passons au suivant. Vous, Frasson… … Et la lente progression continua… — Tu t'en es bien tirée, ma vieille ! lança cavalièrement un petit étudiant aux cheveux en brosse à la jeune fille interrogée. Anne Pasquier sourit. Un sourire lisse, un peu grave, glissant sur les belles dents saines et blanches. Il y avait une assurance tranquille, un équilibre heureux dans ce sourire…
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