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  • Auteurs: Anne-Marie Pol
  • Auteurs: Ernest Richard
  • Auteurs: Sally Fairchild

L'héritière sans passé (Sally Fairchild)

5,50 €
Depuis la mort de son mari, Piero Falcone, un riche aristocrate italien assassiné dix ans plus tôt, Adriana dirige les entreprises Falcone d'une main de fer. Un combat quotidien où la concurrence est rude et les ennemis nombreux. Parmi ses adversaires, toutefois, il en est un, Thorne Weston, qu'elle redoute tout particulièrement. Car la rivalité en affaires ne suffit pas à justifier l'acharnement que met cet homme à la combattre. Pas plus qu'elle ne peut expliquer l'attitude ambiguë, tour à tour haineuse ou protectrice, dont il fait preuve à son égard. Troublée autant qu'intriguée, la jeune femme décide d'enquêter sur le passé familial. C'est alors que, peu à peu, le puzzle se met en place, au centre duquel apparaît bientôt, à travers les pages d'un journal intime, la figure lumineuse de Julia, une femme libre et audacieuse avec laquelle Piero Falcone entretint jadis une liaison secrète et passionnée. Adriana comprend alors la vérité... et ce secret qui nourrit la haine de Thorne depuis des années…

Aurore (Anne-Marie Pol) - Pocket N° 1600

2,15 €
Au royaume de son père, la danse est interdite, mais la Princesse Aurore est une rebelle ! Elle ne cesse de danser sous le regard complice de son frère Solal. Cela pourrait rester un simple jeu d'enfants, mais Aurore tombe amoureuse d'un garçon qui ne convient pas au Roi. La danse devient alors, pour elle, une façon de conquérir sa liberté…

N° 1188 - Puisque tu me fuis... (Ernest Richard)

3,74 €
Extrait : Dans les salons de l'Hôtel Impéria, le Comité général des Armateurs donnait, cette nuit-là, son grand bal annuel. Tout ce que le port de Rouen comptait de notabilités, haut commerce, haute industrie, armée, magistrature et arts, avait tenu à figurer dans cette assemblée extrêmement brillante. Deux jazz, secondés d'orchestres tango-rumba, alternaient à chaque coin de l'immense pièce où chatoyaient uniformes et toilettes… Au brouhaha discret des soirées de bonne compagnie, les arrivants tardifs devinaient en entrant qu'on atteignait à l'instant où, de l'apparat guindé du début, la fête passe à la gaieté aimable qui ne doit plus l'abandonner avant l'aube. On venait de distribuer les cotillons, amusant épisode qui permet au plus grave des capitaines de vaisseau ou colonels en retraite, au plus austère président de cour d'assises d'arborer sans rougir un casque de pompier à moins que ce ne soit un polo de groom !…
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