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  • Auteurs: Anne Bergheaud
  • Auteurs: Ariette Prêle
  • Auteurs: Philippe Aymond

N° 3332 - Le rendez-vous de l'aube d'après le roman d'Anne et Noëlle Bergheaud

3,75 €
Extrait : Le gong du village annonça la première heure du jour. C'était le moment préféré de Lê-Thi-Loan. Dès que la fenêtre serait éclairée, il lui faudrait se lever. En attendant, la jeune femme savourait la clarté indécise de l'aube. Puis, avec un soupir, elle abandonna sa couche et s'enveloppant dans une robe de chambre semée de bouquets, elle sortit dans le jardin. Le ciel était rose…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait  : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

Les voleurs de villes (Pierre Christin, Philippe Aymond)

8,40 €
En reportage à Jérusalem, Graziella Plattner et Charlotte Estève visionnent des images prises la veille au Mur des Lamentations. Elles tombent sur une anomalie visuelle qu'elles imputent tout d'abord à un défaut de filmage. Mais non ! Un pan entier du Mur a disparu dans la nuit ! Tandis que Graziella part pour un mystérieux rendez-vous vers la Mer Morte, Charlotte regagne Paris. Au siège de leur agence vidéo, elle découvre qu'il se passe de drôles de choses aussi dans la capitale, puisque des bouts d'immeubles ou de monuments semblent avoir été embarqués par des vandales. Et ce n'est qu'un début ! Car une partie des richesses architecturales de la planète est bel et bien en train de s'envoler sans laisser de traces. Derrière la belle Graziella et l'astucieuse Charlotte va s'engager une quête haletante, où se lit aussi l'aventure urbaine du monde moderne.

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1884 - A la lumière de cet été (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : A l'heure de la sieste, la maisonnée tout entière plongeait dans le silence. Chacun était libre de dormir où il voulait : dans l'ombre de la sapinette sur les aiguilles de pins qui revêtaient la mousse d'une natte sèche et luisante, dans le fenil obscur plein de l'entêtante odeur des herbes rêches, dans l'ancienne magnanerie si l'on ne craignait pas les mouches ou dans la « chambre verte » que Sheila préférait à tout le reste. Mais elle arrivait rarement à s'annexer ce lieu de délices situé dans une aile inhabitée de la demeure, baignée de lumière glauque et de fraîcheur particulièrement favorables au sommeil : Delia et sa mère l'occupaient à tour de rôle, sauf cet après-midi là, puisque depuis le matin elles étaient parties faire des courses en ville. Sadi — le mari de Délia — Chris, le frère de Sheila et de Délia, Chad Maddelin enfin, le chef de la famille, allaient choir sur des couches improvisées aux alentours de la maison : sapinette, fenil, voire même bûcher ou buanderie quand il faisait très chaud comme aujourd'hui…
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