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  • Auteurs: Anne Bergheaud
  • Auteurs: Claude Fayet
  • Auteurs: Jean Glachant

N° 3332 - Le rendez-vous de l'aube d'après le roman d'Anne et Noëlle Bergheaud

3,75 €
Extrait : Le gong du village annonça la première heure du jour. C'était le moment préféré de Lê-Thi-Loan. Dès que la fenêtre serait éclairée, il lui faudrait se lever. En attendant, la jeune femme savourait la clarté indécise de l'aube. Puis, avec un soupir, elle abandonna sa couche et s'enveloppant dans une robe de chambre semée de bouquets, elle sortit dans le jardin. Le ciel était rose…

N° 387 - Le chemin du retour (Claude Fayet)

2,50 €
Denis Morlay, parce qu'il était pauvre, a refusé l'amour de Rémine de Barjac. Il est parti en Amérique. Lorsqu'il revient en France, fortune faite, il apprend que Rémine a épousé Robert de Saint-Vallier. Un hasard les remet en présence au cours d'une dramatique soirée. Denis constate que la jeune femme n'est pas heureuse. Elle redoute les brutalités de son mari, alcoolique et à demi fou. Cette même nuit, Robert est assassiné et Rémine accusée de meurtre... Le témoignage de Denis la sauve ! Elle disparaîtra mystérieusement après s'être réfugiée en Suisse chez des amis. L'un deux s'en montre très affecté, Claude, un grand malade, désespérément épris de Rémine. Mais quand Denis la retrouve et veut l'amener au chevet de Claude, elle refuse par crainte de subir à nouveau l'emprise du passé. Une question reste pendante : qui a tué Robert ? Fût-ce en raison de l'amour ancien ? La lumière jaillira-t-elle afin que chacun retrouve sa voie et son pays ? Par un autre chemin...

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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