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  • Auteurs: Anne Bergheaud
  • Auteurs: Jean Vignaud
  • Auteurs: John Cleary
Tornade sur la ville d'après le roman de John Cleary - BS Lecture 3142
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N° 3142 - Tornade sur la ville d'après le roman de John Cleary

2,90 €
Tornade sur la ville d'après le roman policier de John Cleary Extrait : Le temps commença à être menaçant le samedi soir. Ce n'était pas inhabituel à cette époque de l'année : quand l'hiver cède la place au printemps, le même type de temps se développe au-dessus du continent américain. Tard dans la soirée, un système de basses pressions permit la concentration de l'air froid et sec sur les pentes est des Montagnes Rocheuses tandis que vers le sud, des flots d'air chaud et humide émergèrent du golfe du Mexique. Les deux fronts, tels les éléments d'une armée, s'approchèrent inexorablement l'un de l'autre. A Kansas City, dans le Missouri, le centre de recherches météorologiques publia un premier bulletin : une tornade d'une grave intensité était en vue. Dans la ville de Friendship, au sud-ouest du Missouri, l'officier de service, Jack Atcheson, reçut le message à minuit et fit une note pour informer les radios locales…

N° 3332 - Le rendez-vous de l'aube d'après le roman d'Anne et Noëlle Bergheaud

3,75 €
Extrait : Le gong du village annonça la première heure du jour. C'était le moment préféré de Lê-Thi-Loan. Dès que la fenêtre serait éclairée, il lui faudrait se lever. En attendant, la jeune femme savourait la clarté indécise de l'aube. Puis, avec un soupir, elle abandonna sa couche et s'enveloppant dans une robe de chambre semée de bouquets, elle sortit dans le jardin. Le ciel était rose…

La maison du maltais (Jean Vignaud) - Collection Gründ illustrée N° 16

4,50 €
Extrait : Chapitre VII Le matin jeta dans la rue un autre Matteo, un Matteo impatient, qui, dans sa hâte de se mettre au travail, bouscula sans le reconnaître le fumigateur dont l'encens parfumé de benjoin distribue, pour la semaine, du bonheur dans chaque maison. Franchie la Porte de la mer, il enleva ses sandales pour courir plus vite vers le quai aux phosphates. Il avait suffi d'une nuit d'amour pour opérer ce miracle. Jamais Matteo n'avait connu semblables délices ; certains mots l'exaltaient encore comme si Safia eût été présente. Lui, pauvre portefaix, avait été salué par cette beauté des îles comme un prophète « Ia Robbi, Ia Allah, ô mon maître, ô mon Dieu ! » Safia entre ses bras avait soupiré ces paroles, le corps palpitant comme celui d'un pigeon qu'on étouffe. Et c'est pour réentendre ces mots, ces soupirs, qu'il lui fallait de l'argent. Il voulait, tout comme les notables qui cachaient des fortunes derrière leurs haies de tabias, dans la banlieue sfaxienne, pouvoir parer sa maîtresse, l'étourdir de cadeaux. Fini, désormais, le temps où Matteo musait d'une barque à l'autre, criblant de ses quolibets Maltais et Siciliens ; finies, les flâneries chez Gordina, les siestes sur le sable chaud du chenal. Tout cela était le passé, un cadavre que Safia avait piétiné de ses petits talons marqués de henné…
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