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  • Auteurs: Anne Claire
  • Auteurs: Antoine Laurent
  • Auteurs: Delly
Reinette (Delly) - Editions Plon
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Reinette (Delly)

4,05 €
Marie-Reine du Helly — Reinette — est orpheline. Elle a été recueillie par son tuteur, M. Douvre, qui laisse à une épouse autoritaire le soin de son éducation. Mme Douvre, craignant que cette jeune fille sans fortune ne plaise à l'un de ses fils, voudrait la marier au plus vite. Elle la force à se fiancer à un savant bien plus âgé qu'elle, Valéry Logart, décidé à épouser une femme qu'il pourrait façonner à sa guise, suivant des théories très arrêtées. Quelques jours avant le mariage, Marie-Reine qui est très pieuse, sentant que son fiancé combattra sa foi, rompt avec éclat. Valéry en épouse une autre et ce mariage est un échec. Devenu veuf, il retrouvera Marie-Reine. Le savant se rend compte de ce qu'il a perdu par son intransigeance, il juge enfin à leur valeur le charme et les profondes qualités morales de Reinette et il finira par l'épouser. Marie-Reine est une des plus émouvantes héroïnes de Delly. Le roman, plein de péripéties inattendues, est de ceux qu'on lit sans pouvoir les quitter.

Annonciade (Delly)

3,50 €
Wennaël songeait à l’amour d’Annonciade, à sa radieuse beauté. Une griserie l’envahissait. Mais elle se mêlait à un sentiment gênant et inconnu de lui qui ressemblait à du remords... Par jeu, le superbe et fantasque marquis Wennaël de Pennelon s’amuse à troubler Annonciade. La naïve et pure Annonciade qui tient d’une ascendance grecque sa grâce inimitable... Parviendra-t-elle à enchaîner ce coeur volage ? Wennaël repart bientôt vers sa vie brillante et superficielle, laissant la jeune fille profondément meurtrie. Quelques mois plus tard, en Bretagne, un hasard les réunit à nouveau. Wennaël sort d’un drame, désespéré. Il a été grièvement blessé, atteint aux yeux... Aucune foi ne le soutient dans son épreuve. Annonciade croit avoir cessé d’aimer cet homme plus que jamais cynique dans sa souffrance... Le fuira-t-elle, un soir, alors qu’elle voit s’avancer, dans la clarté crépusculaire du ciel breton, la haute silhouette de Wennaël ?

Aélys aux cheveux d'or (Delly)

4,90 €
— On ne se marie pas pour son plaisir ! décrète d'un ton sévère dame Véronique, la gouvernante de la jeune Aélys. Aélys de Croix-Givre vient d'apprendre que son père, avant de mourir, l'a destinée au prince Lothaire. Elle repousse avec effroi l'idée de s'unir au descendant des Waldenstein qui, toujours, furent « aussi cruels et terribles que les pires fauves ». Le prince est superbe, hautain, satanique. Ne prenait-il pas plaisir, adolescent, à faire fouetter ses serviteurs ? Vaincre est sa passion. Aélys le hait, il le sait. La perspective de l'épouser le séduit. Soumettre cette jeune fée aux cheveux d'or sera fort amusant... Dans l'entourage du prince, on s'oppose à ce mariage. Pour évincer Aélys, la belle Sidonia, de sang noble elle aussi, est prête à tout. Aélys et Lothaire s'épouseront-ils ? Quand le prince contemple sa fiancée, il passe parfois, dans son regard, une étrange douceur... Source : Librairie Jules Tallandier

Lysis suivi de L'étoile du Roi Boris (Delly)

6,50 €
« Vous êtes catholique, fervent pratiquant de votre religion, monsieur de Malay. Lysis, ma soeur que vous voulez épouser, est païenne. Elle doit le rester. C'est à cette condition que je vous accorde sa main. De plus, votre mariage ne sera pas célébré à l'église. Une simple cérémonie civile légalisera la situation ». Jean de Malay ne peut accepter ces conditions qui lui sont imposées par Irène Dormier ; celle-ci a élevé Lysis et son frère Hélos dans le plus profond paganisme. Elle rejette la pratique de toute religion, contestant qu'elle puisse être un soutien aux heures de faiblesse et une consolation dans les inévitables épreuves de l'existence. Plutôt que de renier sa foi, Jean préfère rompre avec Lysis. C'est la séparation, mais la vie remettra plus tard en présence les deux jeunes gens dans des circonstances tout autres. Et Irène, à l'approche de la mort, sollicitera d'eux le pardon de ses erreurs et même… d'un crime.

La maison des Belles Colonnes T1 : La louve dévorante (Delly)

8,00 €
Jour néfaste, que celui où doña Encarnacion, comtesse de Villaferda, son fils don Rainaldo et sa toute jeune épouse doña Enriqueta sont venus s'installer dans la maison des Belles Colonnes ! Des cousins de ces nobles Espagnols, les Fauveclare, habitent la demeure mitoyenne : Melchior, qui est veuf, ses deux enfants Aubert et Isabelle, ainsi que la douce Anne, sa soeur. Une grave discorde sépare depuis toujours les deux familles. Elles s'intensifie, lorsque l'âme damnée de doña Encarnacion, l'intrigante Claudia de Winfeld, que l'on a surnommée "la louve dévorante", jette son dévolu sur le faible Melchior… Des drames vont éclater dans cette atmosphère empoisonnée… Quel sera le sort de la fragile Enriqueta, qui tremble et se révolte sous la férule d'une belle-mère au coeur sec ? Peut-elle espérer un secours de Rainaldo, son mari qui la délaisse ? Source : Editions Tallandier

N° 1524 - La fin d'un beau rêve (Antoine Laurent)

4,92 €
Extrait : — Vous m'aimez ? — Ah ! que vous le savez bien ! — Prouvez-le !… Miss Florence Herving braqua droit dans les yeux de Jean de Kervor le regard décidé de ses yeux noirs, et comme il la contemplait sans répondre, elle répéta, un sourire énigmatique relevant ses lèvres :— Prouvez-le !…

N° 1656 - Je vous aime ! (Anne Claire)

3,74 €
Extrait : Eric Sauvage marchait lentement dans le petit square ombragé de vieux marronniers qui commençaient à se couvrir du brouillard vert des nouvelles feuilles. Il poussa du pied, à plusieurs reprises, un caillou rond comme du temps où il était petit garçon. Il se souvint soudain des gronderies de sa mère « Eric, Eric, je t'en supplie, tu m'uses toujours ton soulier droit deux fois plus vite que le gauche à cause de tes maudits cailloux !… Ne peux-tu voir à terre une pierre ou une vieille boîte sans la transformer en ballon de football, Eric ?… » Il sourit en lui-même à la chère image qui commençait à s'estomper. Ce rappel de sa mère lui réchauffa le coeur et lui rendit du courage. L'horloge du lycée sonna les trois quarts d'une heure. Des gamins passèrent près du jeune homme en se bousculant et en criant. Ils jetèrent leur cartable sur un banc et sortirent de leur poche un sac de billes. — Un quart d'heure encore avant le bahut, les vieux, on a le temps d'en faire une, cria le plus grand d'une voix éraillée de gamin qui s'égosille tout le jour…

N° 1647 - Une femme survint (Anne Claire)

3,05 €
Extrait : — Il me semble que j'entends battre la porte des chevaux. Crois-tu que Firmin l'ait fermée avant de monter se coucher ? — Je ne sais pas. Il n'oublie jamais, en général, mais il se peut que le vent l'ait rouverte. On dirait que tous les diables de l'enfer sont déchaînés ce soir. Tiens, les chevaux doivent sentir l'orage. Entends-tu la Blanche qui hennit. — Je crois que nous ferions bien d'aller voir et de vérifier si le poulailler est bien fermé, également. La nuit sera terrible. Depuis des années je n'ai vu un temps pareil ! Jean Michel se leva pesamment du fauteuil où il fumait sa pipe et se dirigea vers la porte. Son frère Robert se leva pour le suivre. Ils avaient tellement l'habitude de vivre ensemble, les deux « ours des Ronciers », comme on les appelait, que leurs mouvements avaient un synchronisme parfait. Jean ouvrit la porte qui donnait sur la terrasse et, tête baissé, résista en maugréant contre le vent…

N° 1692 - Douloureux problème (Anne Claire)

3,05 €
Extrait  : — Florence, appela une voix basse et impérieuse du fond de l'appartement, Florence où es-tu ? Une jeune femme mince et blonde qui se tenait devant la fenêtre et regardait les filles et les garçons en toilettes claires passer dans la rue, tressaillit comme si une main s'était posée sur son épaule. Elle repoussa brusquement les battants de la fenêtre. Il semblait qu'on venait de la surprendre en faute. — Je viens Régis, cria-t-elle. En traversant la pièce, elle s'arrêta devant un grand vase d'où jaillissaient des branches de lilas blanc et enfouit son visage dans les grappes fraîches et odorantes. Elle les respira avidement comme un prisonnier aspire l'air de la liberté. Du fond de l'appartement, la voix appela de nouveau : — Florence, j'ai besoin de toi, viens. La jeune femme se dirigea rapidement vers la chambre d'où venait l'appel. Dans un lit, face à lêa fentre, gisait un homme si ravagé par la souffrance et la maladie qu'il était difficile de lui donner un âge. Son visage était couleur de cire, ses yeux brillant de fièvre, s'enfonçaient profondément dans les orbites. Il respirait rapidement, avec peine…
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