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Il y a 6 produits.

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  • Auteurs: Anne Claire
  • Auteurs: Francard
  • Auteurs: Mary Anne Wilson

FATUM T2 : Premières armes (Froideval, Francard)

12,00 €
Le nouveau parrain règne depuis peu sur la mafia mondiale. Il contrôle déjà trois familles ; du coup, les autres ont décidé de l'abattre. Le nouveau « Don Cenettone » a plein de problèmes… Le plus grand d'entre eux, c'est qu'il n'a que 12 ans !

FATUM T3 : L'ultime assassin (Froideval, Francard)

8,00 €
Résumé des épisodes précédents : Le Parrain est mort et l'héritier a pris la relève : Don Cenetonne, 12 ans. Mais personne n'ayant l'intention de se laisser diriger par un moutard, les familles ont déclenché une guerre à laquelle le moutard a répondu avec une étonnante efficacité. Après une suite ininterrompue de carnages et d'enterrements, Don Cenetonne s'en va en week-end avec sa Nadine adorée, une superbe blonde spécialisée dans la sécurité rapprochée. Ils en profitent pour s'avouer leur amour, mais Nadine, qui sait tuer un homme de 432 façons, ne sait pas quoi faire avec un gamin de douze ans. Dieu merci, ils ont d'autres sujets de préoccupation, car les familles rêvent toujours de trucider Don Cenetonne. Et pendant qu'on lui prépare une entourloupe à Tokyo pour la prochaine réunion, on lui envoie à domicile deux " ultimes assassins " - un couple de jumeaux plutôt chochottes mais très méchants et très bien équipés. Agression à laquelle Don Cenetonne répond avec son brio habituel. La prochaine fois, ça va barder à Tokyo. Et nous attendons avec impatience la suite de cette série d'anticipation explosive, qui manie la cruauté sanglante — « il n'y a pas de manière gentille de tuer quelqu'un » — avec humour et bonne humeur.

3 Romans d'amour (Collectif)

2,55 €
Captifs de l’amour (Sally Heywood) Dès son arrivée à Tago Mago, une île sauvage dont elle vient d’hériter, Sally tombe sous le charme de ce lieu magique situé au large de Malaga. D’autant qu’en chemin, elle a fait la connaissance du beau et séduisant Paul Elliot, qui a ravi son coeur en lui faisant passer la plus belle nuit d’amour qu’elle ait jamais connu. Quelle n’est donc pas sa surprise lorsqu’elle découvre que le bel apollon dont elle est tombée amoureuse n’est autre que celui qui possède la moitié de l’île avec elle… Un papa au-dessus de tout soupçon (Phyllis Halldorson) Fort et doux. Tendre et viril. Papa gâteau et homme d’affaire brillant. Jonathan incarnait à la perfection l’idéal masculin de Chloé. Seulement voilà : l’échec de sa première union avait profondément marqué Jonathan, et le souvenir de son ex-épouse, mystérieusement disparue, le tourmentait encore. Engagée chez lui comme gouvernante pour s’occuper de Candace, seize ans, et de Patty, trois ans, Chloé allait tout mettre en œuvre pour redonner l’envie d’aimer à cet homme si séduisant. Il fallait qu’elle réussisse à tout prix, sinon, elle devrait dire adieu à ses rêves d’amoureuse… Célibataire, riche et sexy (Mary Anne Wilson) Tandis qu’il sortait nu d’un bain de mer, à minuit, Connor McKay entendit un bruissement derrière les cocotiers qui bordaient la plage. Il serra les poings de colère : il n’y avait tout de même pas encore une de ces hystériques folles de lui, de son corps et surtout de sa fortune qui le harcelaient depuis qu’il avait été élu Meilleur Parti de l’année ! C’était justement pour ne pas devenir totalement paranoïaque qu’il s’était réfugié incognito dans cet endroit paradisiaque des Caraïbes. Alors cette jeune effrontée allait voir de quel bois il se chauffait…

N° 1656 - Je vous aime ! (Anne Claire)

3,74 €
Extrait : Eric Sauvage marchait lentement dans le petit square ombragé de vieux marronniers qui commençaient à se couvrir du brouillard vert des nouvelles feuilles. Il poussa du pied, à plusieurs reprises, un caillou rond comme du temps où il était petit garçon. Il se souvint soudain des gronderies de sa mère « Eric, Eric, je t'en supplie, tu m'uses toujours ton soulier droit deux fois plus vite que le gauche à cause de tes maudits cailloux !… Ne peux-tu voir à terre une pierre ou une vieille boîte sans la transformer en ballon de football, Eric ?… » Il sourit en lui-même à la chère image qui commençait à s'estomper. Ce rappel de sa mère lui réchauffa le coeur et lui rendit du courage. L'horloge du lycée sonna les trois quarts d'une heure. Des gamins passèrent près du jeune homme en se bousculant et en criant. Ils jetèrent leur cartable sur un banc et sortirent de leur poche un sac de billes. — Un quart d'heure encore avant le bahut, les vieux, on a le temps d'en faire une, cria le plus grand d'une voix éraillée de gamin qui s'égosille tout le jour…

N° 1647 - Une femme survint (Anne Claire)

3,05 €
Extrait : — Il me semble que j'entends battre la porte des chevaux. Crois-tu que Firmin l'ait fermée avant de monter se coucher ? — Je ne sais pas. Il n'oublie jamais, en général, mais il se peut que le vent l'ait rouverte. On dirait que tous les diables de l'enfer sont déchaînés ce soir. Tiens, les chevaux doivent sentir l'orage. Entends-tu la Blanche qui hennit. — Je crois que nous ferions bien d'aller voir et de vérifier si le poulailler est bien fermé, également. La nuit sera terrible. Depuis des années je n'ai vu un temps pareil ! Jean Michel se leva pesamment du fauteuil où il fumait sa pipe et se dirigea vers la porte. Son frère Robert se leva pour le suivre. Ils avaient tellement l'habitude de vivre ensemble, les deux « ours des Ronciers », comme on les appelait, que leurs mouvements avaient un synchronisme parfait. Jean ouvrit la porte qui donnait sur la terrasse et, tête baissé, résista en maugréant contre le vent…

N° 1692 - Douloureux problème (Anne Claire)

3,05 €
Extrait  : — Florence, appela une voix basse et impérieuse du fond de l'appartement, Florence où es-tu ? Une jeune femme mince et blonde qui se tenait devant la fenêtre et regardait les filles et les garçons en toilettes claires passer dans la rue, tressaillit comme si une main s'était posée sur son épaule. Elle repoussa brusquement les battants de la fenêtre. Il semblait qu'on venait de la surprendre en faute. — Je viens Régis, cria-t-elle. En traversant la pièce, elle s'arrêta devant un grand vase d'où jaillissaient des branches de lilas blanc et enfouit son visage dans les grappes fraîches et odorantes. Elle les respira avidement comme un prisonnier aspire l'air de la liberté. Du fond de l'appartement, la voix appela de nouveau : — Florence, j'ai besoin de toi, viens. La jeune femme se dirigea rapidement vers la chambre d'où venait l'appel. Dans un lit, face à lêa fentre, gisait un homme si ravagé par la souffrance et la maladie qu'il était difficile de lui donner un âge. Son visage était couleur de cire, ses yeux brillant de fièvre, s'enfonçaient profondément dans les orbites. Il respirait rapidement, avec peine…
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