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  • Auteurs: Anne Claire
  • Auteurs: Henri Mansvic
  • Auteurs: Sherryl Woods
Méfie-toi de l'amour (Sherryl Woods) - Harlequin Duo N° 200
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N° 200 - Méfie-toi de l'amour (Sherryl Woods)

2,56 €
Méfie-toi de l'amour (Sherryl Woods) Jamais contrôle fiscal n'aura débuté de façon aussi farfelue ! Lorsqu'il arrive chez Victoria Marshall, Patrick McAndrews ne s'attend pas à devoir lever la tête pour découvrir la jeune femme perchée sur un arbre, les jupes relevées de manière provocante, ni à croiser son regard très bleu, très candide, très moqueur. Et il ne comprend pas non plus la curieuse émotion qui lui étreint le coeur au moment où l'adorable Victoria... atterrit dans ses bras. Il est vrai qu'il a rarement eu affaire à quelqu'un d'aussi imprévisible et charmant. Impertiente, effrontée, exubérante, elle risque fort de ne pas lui rendre la tâche très facile !

N° 439 - Quand viendra la passion (Sherryl Woods)

2,95 €
Il la regarda, surpris, et tout à coup son visage devint grave et douloureux. — Enfin, que se passe-t-il Cassie ? Tu ne veux pas de moi ? Tu n'as pas assez confiance, tu… tu ne m'aimes pas ? La jeune femme se détourna, les yeux embués de larmes. Déchirée, elle sentait qu'une part d'elle-même ne rêvait que de se jeter dans les bras de Jake. Mais une voix la mettait en garde : s'abandonner encore une fois à l'amour, n'était-ce pas courir vers un nouvel échec ? Pourtant, elle avait tellement besoin d'être aimée…

N° 439 - Quand viendra la passion (Sherryl Woods)

2,15 €
Il la regarda, surpris, et tout à coup son visage devint grave et douloureux. — Enfin, que se passe-t-il Cassie ? Tu ne veux pas de moi ? Tu n'as pas assez confiance, tu… tu ne m'aimes pas ? La jeune femme se détourna, les yeux embués de larmes. Déchirée, elle sentait qu'une part d'elle-même ne rêvait que de se jeter dans les bras de Jake. Mais une voix la mettait en garde : s'abandonner encore une fois à l'amour, n'était-ce pas courir vers un nouvel échec ? Pourtant, elle avait tellement besoin d'être aimée…

N° 1656 - Je vous aime ! (Anne Claire)

3,74 €
Extrait : Eric Sauvage marchait lentement dans le petit square ombragé de vieux marronniers qui commençaient à se couvrir du brouillard vert des nouvelles feuilles. Il poussa du pied, à plusieurs reprises, un caillou rond comme du temps où il était petit garçon. Il se souvint soudain des gronderies de sa mère « Eric, Eric, je t'en supplie, tu m'uses toujours ton soulier droit deux fois plus vite que le gauche à cause de tes maudits cailloux !… Ne peux-tu voir à terre une pierre ou une vieille boîte sans la transformer en ballon de football, Eric ?… » Il sourit en lui-même à la chère image qui commençait à s'estomper. Ce rappel de sa mère lui réchauffa le coeur et lui rendit du courage. L'horloge du lycée sonna les trois quarts d'une heure. Des gamins passèrent près du jeune homme en se bousculant et en criant. Ils jetèrent leur cartable sur un banc et sortirent de leur poche un sac de billes. — Un quart d'heure encore avant le bahut, les vieux, on a le temps d'en faire une, cria le plus grand d'une voix éraillée de gamin qui s'égosille tout le jour…

N° 1647 - Une femme survint (Anne Claire)

3,05 €
Extrait : — Il me semble que j'entends battre la porte des chevaux. Crois-tu que Firmin l'ait fermée avant de monter se coucher ? — Je ne sais pas. Il n'oublie jamais, en général, mais il se peut que le vent l'ait rouverte. On dirait que tous les diables de l'enfer sont déchaînés ce soir. Tiens, les chevaux doivent sentir l'orage. Entends-tu la Blanche qui hennit. — Je crois que nous ferions bien d'aller voir et de vérifier si le poulailler est bien fermé, également. La nuit sera terrible. Depuis des années je n'ai vu un temps pareil ! Jean Michel se leva pesamment du fauteuil où il fumait sa pipe et se dirigea vers la porte. Son frère Robert se leva pour le suivre. Ils avaient tellement l'habitude de vivre ensemble, les deux « ours des Ronciers », comme on les appelait, que leurs mouvements avaient un synchronisme parfait. Jean ouvrit la porte qui donnait sur la terrasse et, tête baissé, résista en maugréant contre le vent…

N° 1692 - Douloureux problème (Anne Claire)

3,05 €
Extrait  : — Florence, appela une voix basse et impérieuse du fond de l'appartement, Florence où es-tu ? Une jeune femme mince et blonde qui se tenait devant la fenêtre et regardait les filles et les garçons en toilettes claires passer dans la rue, tressaillit comme si une main s'était posée sur son épaule. Elle repoussa brusquement les battants de la fenêtre. Il semblait qu'on venait de la surprendre en faute. — Je viens Régis, cria-t-elle. En traversant la pièce, elle s'arrêta devant un grand vase d'où jaillissaient des branches de lilas blanc et enfouit son visage dans les grappes fraîches et odorantes. Elle les respira avidement comme un prisonnier aspire l'air de la liberté. Du fond de l'appartement, la voix appela de nouveau : — Florence, j'ai besoin de toi, viens. La jeune femme se dirigea rapidement vers la chambre d'où venait l'appel. Dans un lit, face à lêa fentre, gisait un homme si ravagé par la souffrance et la maladie qu'il était difficile de lui donner un âge. Son visage était couleur de cire, ses yeux brillant de fièvre, s'enfonçaient profondément dans les orbites. Il respirait rapidement, avec peine…

N° 544 - Celle qui aime... (Henri Mansvic)

3,74 €
Extrait :  En pleine Sarthe, sur la pente d'une colline boisée au pied de laquelle une rivière ondule, se dresse le vieux château de Menonville. On y accède par un chemin moussu, tout bordé de haies vives, qui, par ce matin de mai ensoleillé, verdoient et parfument. A l'heure où nous y pénétrons avec notre lecteur, un homme, presque un vieillard, est assis dans un petit salon solitaire. Les coudes sur une table, l'oeil fixe, la tête dans ses deux mains, il songe. Et ce à quoi il songe doit être profondément triste, car de longs soupirs s'échappent par instants de sa poitrine oppressée. Les mauvaises nouvelles, qu'il pressentait il y a quelques jours, s'étaient en effet confirmées hier. Il n'y avait plus de doute possible, et le désastre était absolu de la banque qui détenait sa fortune…

N° 134 - Le testament du coeur (Sherryl Woods)

3,50 €
Depuis qu’elle a quitté son Wyoming natal et le grand-père qui l’a élevée, Megan O’Rourke mène une brillante carrière à New York. Certes, il lui en a coûté de nombreux sacrifices, mais elle a enfin la reconnaissance sociale à laquelle elle aspirait tant. Quelle revanche pour celle que sa mère a rejetée lorsqu’elle était petite… Tout bascule cependant à la mort de son aïeul… Stupéfaite, Megan découvre que ce dernier l’a obligée par testament à s’occuper d’une fillette qu’il a eue sur le tard. Pire, il ne lui laisse pas d’autre choix que de l’élever dans son ranch du Wyoming – faute de quoi elle serait contrainte de renoncer à la propriété. Partagée entre ses ambitions professionnelles et son refus d’abandonner l’enfant à son sort, la jeune femme se retrouve face à un choix susceptible de bouleverser toute sa vie. Et ce ne sont pas ses retrouvailles houleuses avec Jake Landers, son amour de jeunesse, qui vont lui faciliter la tâche…

N° 134 - Le testament du coeur (Sherryl Woods)

3,50 €
Depuis qu’elle a quitté son Wyoming natal et la ferme de son grand-père, Megan O’Rourke s’est imposée comme une vraie self-made-woman à New York : presse, télévision, édition, elle accumule les succès dans tous les domaines de la communication. Aussi, grande est sa stupeur lorsqu’elle apprend que son grand-père, avant de mourir, l’a contrainte par testament à retourner vivre à la campagne. Et de réfléchir à cette question, obsédante entre toutes : pourquoi diable son grand-père l’oblige-t-il à tout lâcher pour s’occuper d’une petite fille de huit ans et composer avec un homme qu’elle a presque oublié ?
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