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  • Auteurs: Anne Hampson
  • Auteurs: Ariette Prêle
  • Auteurs: Elle James

N° 156 - La mémoire piégée (Elle James) - Bouleversantes retrouvailles (Carla Cassidy)

4,05 €
La mémoire piégée (Ella James) Dawson Gray sera votre garde du corps… Savvy se réveille à l'hôpital, bouleversée : les médecins lui apprennent qu'elle est amnésique, mais aussi accusée d'avoir tué un homme. En attendant que l'enquête aboutisse, elle sera surveillée vingt-quatre heures sur vingt-quatre par un parfait inconnu. Un inconnu pas plus ravi qu'elle par cette situation… Dawson se montre particulièrement désagréable à son égard. Même quand elle lui dit qu'elle ne peut pas être une meurtrière et le supplie de la croire. Parce qu'elle est piégée par sa mémoire défaillante… Bouleversantes retrouvailles (Carla Cassidy) Partout en ville, un vandale a collé des affiches l'accusant de maltraiter les enfants qu'on lui confie, à la garderie municipale... Portia est atterrée. Qui cherche ainsi à détruire sa vie ? Déterminée, révoltée, elle se rend au commissariat pour porter plainte… sans se douter qu'elle va tomber sur le beau Caleb Grayson. Caleb, son amour de jeunesse, qu'elle n'a jamais pu oublier et qui lui apprend qu'il remplace pour quelque temps le shérif habituel. A peine trois jours plus tard, elle est agressée. Caleb lui propose alors sa protection, et s'installe chez elle pour découvrir qui cherche à lui nuire…

N° 3269 - Un mari tout trouvé d'après le roman d'Anne Hampson

3,75 €
Extrait : Le front de Kim Rosswell se plissa alors qu'elle donnait un dernier coup de brosse à ses cheveux d'or pâle. Dendras devenait trop amoureux. Elle le considérait comme un enfant, pas encore en âge de se marier, et pourtant elle le soupçonnait fortement d'avoir l'intention de lui parler mariage ce soir. Ils s'étaient rencontrés dans des circonstances incroyables…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait  : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1884 - A la lumière de cet été (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : A l'heure de la sieste, la maisonnée tout entière plongeait dans le silence. Chacun était libre de dormir où il voulait : dans l'ombre de la sapinette sur les aiguilles de pins qui revêtaient la mousse d'une natte sèche et luisante, dans le fenil obscur plein de l'entêtante odeur des herbes rêches, dans l'ancienne magnanerie si l'on ne craignait pas les mouches ou dans la « chambre verte » que Sheila préférait à tout le reste. Mais elle arrivait rarement à s'annexer ce lieu de délices situé dans une aile inhabitée de la demeure, baignée de lumière glauque et de fraîcheur particulièrement favorables au sommeil : Delia et sa mère l'occupaient à tour de rôle, sauf cet après-midi là, puisque depuis le matin elles étaient parties faire des courses en ville. Sadi — le mari de Délia — Chris, le frère de Sheila et de Délia, Chad Maddelin enfin, le chef de la famille, allaient choir sur des couches improvisées aux alentours de la maison : sapinette, fenil, voire même bûcher ou buanderie quand il faisait très chaud comme aujourd'hui…
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