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  • Auteurs: Alain Gerber
  • Auteurs: Anne Hampson
  • Auteurs: Félix Léonnec

Le faubourg des Coups-de-Trique (Alain Gerber)

3,74 €
Le faubourg des Coups-de-Trique : c'est ainsi que ses habitants avaient baptisé le quartier ouvrier de Belfort avant 1940, date où s'achève cette histoire, alors que les troupes allemandes font leur entrée dans la ville. En 1940, Théo a douze ans et il vient de passer, tant bien que mal, son certificat d'études. Demain, il ira gagner sa vie. Autour de lui, il y a ses grands-parents, chassés d'Alsace après la guerre de 1870. Il y a ses parents, sa soeur aînée, l'oncle Maximilien, séduit par l'idéologie fasciste, Kramsky, le coupeur de bois qui sait « parler hanneton », et puis surtout Gentil, ancien marsouin, manutentionnaire à l'Alstom, clarinettiste du samedi soir qui, ayant un jour entendu Artie Shaw à la radio, fait du jazz sans le savoir. À leurs côtés, tout un petit monde tente de survivre, entre les usines et l'épicerie-bistrot, à une existence de labeur, d'effroi et de désillusion que viendra seul illuminer le grand soleil de 1936…

N° 3269 - Un mari tout trouvé d'après le roman d'Anne Hampson

3,75 €
Extrait : Le front de Kim Rosswell se plissa alors qu'elle donnait un dernier coup de brosse à ses cheveux d'or pâle. Dendras devenait trop amoureux. Elle le considérait comme un enfant, pas encore en âge de se marier, et pourtant elle le soupçonnait fortement d'avoir l'intention de lui parler mariage ce soir. Ils s'étaient rencontrés dans des circonstances incroyables…

N° 1150 - Pauvre petite femme (Félix Léonnec)

2,92 €
Extrait : — Allons, mon bon Benoît, il faut nous séparer ; depuis hier soir, déjà, vous n'êtes plus à mon service mais à ceux du duc de Veristein ; ce tour que nous venons de faire ensemble était le dernier fait par moi sur ce domaine depuis si longtemps à mes ancêtres. J'aime mieux le voir vendu à un grand seigneur que de le voir péricliter faute d'argent pour le faire valoir. — Est-il possible, monsieur le comte, que des choses pareilles puissent arriver. J'ai été au service de Monsieur votre père et à ce moment on disait couramment que les comtes de Villerbois étaient quasiment aussi riches que des rois. — Que des rois pauvres, mon brave Benoît, certainement nous avions de quoi faire valoir tout le pays, mais les temps ont changé, la vie a des exigences qui n'existaient pas autrefois…
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