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  • Auteurs: Anne Hampson
  • Auteurs: Félix Léonnec
  • Auteurs: Lisa Bresner
Contes chinois : Le Bouvier et la Tisserande - Collection Maximax - L'école des loisirs
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Contes chinois : Le Bouvier et la Tisserande (Lisa Bresner)

2,96 €
« Quand tu rencontreras ta future épouse, elle portera aux pieds de très jolis chaussons brodés, sur l'un on verra le dessin d'un dragon et sur l'autre celui d'un phénix. » Voilà ce que le buffle a annoncé à son jeune maître, le bouvier. Alors, pour épouser la jeune fille aux chaussons brodés, le bouvier va affronter mille dangers et même la jalousie de la très cruelle Jade de Printemps. Mais dans la Chine des Contes, rien ne peut séparer des amoureux, et s'il le faut, ils deviennent étoile ou oiseau. Dans la Chine des Contes, les juges peignent parfois de très beaux éventails et savent faire parler les rochers. Les questions d'un enfant font pâlir de fatigue le très sage Confucius. Et malheur à celui qui essaie de faire mentir le gros Livre des Mariages où est consigné le destin de chaque garçon et de chaque fille. Table : Le Bouvier et la Tisserande Les éventails de Su Dongpo Le juge interroge un rocher Inséparables Le jeune maître de Confucius Notre Cher Âne Le vieil homme de la lune

N° 3269 - Un mari tout trouvé d'après le roman d'Anne Hampson

3,75 €
Extrait : Le front de Kim Rosswell se plissa alors qu'elle donnait un dernier coup de brosse à ses cheveux d'or pâle. Dendras devenait trop amoureux. Elle le considérait comme un enfant, pas encore en âge de se marier, et pourtant elle le soupçonnait fortement d'avoir l'intention de lui parler mariage ce soir. Ils s'étaient rencontrés dans des circonstances incroyables…

N° 1150 - Pauvre petite femme (Félix Léonnec)

2,92 €
Extrait : — Allons, mon bon Benoît, il faut nous séparer ; depuis hier soir, déjà, vous n'êtes plus à mon service mais à ceux du duc de Veristein ; ce tour que nous venons de faire ensemble était le dernier fait par moi sur ce domaine depuis si longtemps à mes ancêtres. J'aime mieux le voir vendu à un grand seigneur que de le voir péricliter faute d'argent pour le faire valoir. — Est-il possible, monsieur le comte, que des choses pareilles puissent arriver. J'ai été au service de Monsieur votre père et à ce moment on disait couramment que les comtes de Villerbois étaient quasiment aussi riches que des rois. — Que des rois pauvres, mon brave Benoît, certainement nous avions de quoi faire valoir tout le pays, mais les temps ont changé, la vie a des exigences qui n'existaient pas autrefois…
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