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  • Auteurs: Anne Marie Winston
  • Auteurs: Ariette Prêle
  • Auteurs: Gwladys Constant

L'oncle Mika (Gwladys Constant)

3,96 €
Jérémie est triste et inquiet. Son oncle Mika n'est pas venu déjeuner en famille le dimanche. Il n'est pas non plus venu l'attendre à la sortie de l'école mercredi. Il s'interroge mais les grandes personnes ne semblent pas vouloir répondre à ses questions. Oncle Mika a-t-il disparu ? A-t-il été Kidnappé ? Est-il fâché contre Jérémie ? Que cherche-t-on ainsi à lui cacher ?

N° 1115 - Le bonheur pour contrat (Anne Marie Winston)

2,56 €
Jillian allait devoir tenir six mois… Six mois aux côtés de Dax, cela lui paraissait un enfer, aujourd'hui ! Et elle se souvint avec tristesse et colère de l'époque radieuse où une seule seconde auprès de Dax lui semblait une éternité de bonheur… Entre-temps, ils étaient devenus des ennemis : Dax la détestait pour une trahison qu'elle n'avait pourtant pas commise, et elle-même lui en voulait terriblement de ne pas avoir su lui faire confiance. A présent, il venait de trouver un nouveau moyen de la faire souffrir : l'épouser, en échange de la remise à flot de l'entreprise familiale. Si elle refusait, il expulsait, licenciait tout le monde. Devant tant de rage, Jillian n'avait pu qu'accepter, en apportant, toutefois, sa patte au contrat : le mariage ne durerait que le temps de redresser la situation financière - c'est-à-dire, au plus, six mois.

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait  : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1884 - A la lumière de cet été (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : A l'heure de la sieste, la maisonnée tout entière plongeait dans le silence. Chacun était libre de dormir où il voulait : dans l'ombre de la sapinette sur les aiguilles de pins qui revêtaient la mousse d'une natte sèche et luisante, dans le fenil obscur plein de l'entêtante odeur des herbes rêches, dans l'ancienne magnanerie si l'on ne craignait pas les mouches ou dans la « chambre verte » que Sheila préférait à tout le reste. Mais elle arrivait rarement à s'annexer ce lieu de délices situé dans une aile inhabitée de la demeure, baignée de lumière glauque et de fraîcheur particulièrement favorables au sommeil : Delia et sa mère l'occupaient à tour de rôle, sauf cet après-midi là, puisque depuis le matin elles étaient parties faire des courses en ville. Sadi — le mari de Délia — Chris, le frère de Sheila et de Délia, Chad Maddelin enfin, le chef de la famille, allaient choir sur des couches improvisées aux alentours de la maison : sapinette, fenil, voire même bûcher ou buanderie quand il faisait très chaud comme aujourd'hui…
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