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  • Auteurs: Anne Pouget
  • Auteurs: Ariette Prêle
  • Auteurs: Joël Audrenn

Le mystère des pierres (Anne Pouget)

3,95 €
L'incroyable destin d'un jeune paysan du Moyen Âge An 1027. Tristan sauve un moine d'une mort certaine. En signe de reconnaissance, frère Jean accueille le jeune garçon à l'abbaye de Fleury pour lui enseigner la lecture et l'écriture. C'est le début, pour Tristan, d'une vie de compagnonnage. Une vie riche et mouvementée au cours de laquelle il découvrira les fabuleux pouvoirs de la nature et de la science. A partir de 11 ans.

La sadane de minuit (Joël Audrenn) - Collection 4 couleurs N° 63

2,54 €
Qu'est-ce qui fait donc courir tant de gens derrière Claudie, la petite hôtesse d'accueil de l'Egico, dès qu'elle part en vacances et quitte Paris ? Que Sandro cherche à la rejoindre — Sandro, le jeune dessinateur de l'Egico qui l'adore en secret — on le comprend. Que Fred, un collègue et le play-boy de l'Egico, soit dépêché par le patron pour rattraper Claudie et la conduire chez sa femme dans leur propriété du Roussillon, c'est surprenant. Qu'un troisième larron — un inconnu — mette ses pas dans ceux des jeunes gens, voilà qui devient inquiétant. Lorsque s'engage une extravagante poursuite, Claudie croit rêver. Les événements se précipitent à une telle allure ! ... Un somptueux domaine. Des invités qui s'amusent. D'autres qui se mentent. Un grand amour qui s'affirme dans l'ombre. Et puis une menace qui se précise pour Claudie. Elle a peur... Au rendez-vous de la sardane que l'on danse à minuit, sur la place du village, d'imprévisibles partenaires l'attendent.

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait  : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1884 - A la lumière de cet été (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : A l'heure de la sieste, la maisonnée tout entière plongeait dans le silence. Chacun était libre de dormir où il voulait : dans l'ombre de la sapinette sur les aiguilles de pins qui revêtaient la mousse d'une natte sèche et luisante, dans le fenil obscur plein de l'entêtante odeur des herbes rêches, dans l'ancienne magnanerie si l'on ne craignait pas les mouches ou dans la « chambre verte » que Sheila préférait à tout le reste. Mais elle arrivait rarement à s'annexer ce lieu de délices situé dans une aile inhabitée de la demeure, baignée de lumière glauque et de fraîcheur particulièrement favorables au sommeil : Delia et sa mère l'occupaient à tour de rôle, sauf cet après-midi là, puisque depuis le matin elles étaient parties faire des courses en ville. Sadi — le mari de Délia — Chris, le frère de Sheila et de Délia, Chad Maddelin enfin, le chef de la famille, allaient choir sur des couches improvisées aux alentours de la maison : sapinette, fenil, voire même bûcher ou buanderie quand il faisait très chaud comme aujourd'hui…
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