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  • Auteurs: Anne Pouget
  • Auteurs: Camille Arnold
  • Auteurs: Vivienne Lorret
Les gentlemen de Fallow Hall T3 : Piège pour une beauté - Vivienne Lorret - Victoria N° 26
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Les gentlemen de Fallow Hall T3 : Piège pour une beauté (Vivienne Lorret)

4,50 €
On ne devrait jamais se fier aux apparences. Pour sauver la vie de l’intendant de son père, accusé d’un crime qu’il n’a pas commis, Lucan, joueur invétéré, a emprunté de l’argent à un vicomte au-dessus de tout soupçon… qui s’avère être le diable incarné. Réduit à sa merci, Lucan comprend que le vicomte cherche à atteindre Frances, la fille de l’intendant, aujourd’hui livrée à elle-même. Bien sûr, lorsque qu’il essaie de mettre en garde la courageuse jeune femme, qui le considère comme la cause de tous ses malheurs, celle-ci le repousse avec violence. Mais Lucan est bien décidé à protéger Frances des griffes du vicomte. Malgré elle, s’il le faut…   Entre malentendus et faux-semblants, Vivienne Lorret nous offre une histoire intense entre deux personnages décidés à faire triompher la justice.

Le mystère des pierres (Anne Pouget)

3,95 €
L'incroyable destin d'un jeune paysan du Moyen Âge An 1027. Tristan sauve un moine d'une mort certaine. En signe de reconnaissance, frère Jean accueille le jeune garçon à l'abbaye de Fleury pour lui enseigner la lecture et l'écriture. C'est le début, pour Tristan, d'une vie de compagnonnage. Une vie riche et mouvementée au cours de laquelle il découvrira les fabuleux pouvoirs de la nature et de la science. A partir de 11 ans.

N° 1676 - La clause secrète (Camille Arnold)

2,92 €
Extrait : Jacqueline repoussa lentement le tiroir du classeur dont le carton vert était déchiré, après y avoir rangé la traite des établissements Phalippou et Fils… Elle était lasse. Non pas lasse de trop travailler — son emploi de dactylo-facturière chez Fradet , « couverture, plomberie, sanitaire », n'était pas harassant ! — mais, au contraire, de faire un travail monotone et ennuyeux auquel elle ne parvenait pas à s'intéresser. Tandis qu'elle cherchait dans une boîte déglinguée un morceau de sparadrap pour arranger tant bien que mal le tiroir défaillant, elle regardait du coin de l'oeil, avec une sorte d'envie, le comptable, M. Plumet…

N° 1704 - Au bord de l'abîme (Camille Arnold)

3,74 €
Extrait : Gustave Herbelot reposa le vase de Sèvres dont, machinalement, il avait regardé la marque. On aurait dit qu'il faisait, sans y songer, l'inventaire de ce qu'avait laissé, en mourant, Suzanne Teyssière. De tous les bibelots qui ornaient ce salon, le plus ravissant était sans conteste Odile devant qui Gustave vint se planter, les mains aux poches : — Alors, petite ? Nous sommes d'accord ? La jeune fille leva vers lui un regard craintif : — Il le faut bien, tonton. Elle n'était pas sa nièce, mais celle de sa femme, Fernande, qui était morte deux ans plus tôt. Décidément, on ne vivait pas vieux, chez les Guitton : les deux soeurs, Fernande et Suzanne, avaient été orphelines de bonne heure. Puis Fernande était morte à trente-huit ans et voici que Suzanne venait à son tour d'être emportée en quelques jours par une angine de poitrine. Il restait à Gustave, en tout de sa belle famille, cette nièce de dix-sept ans dont il avait été désigné le tuteur…

N° 1567 - L'inutile sacrifice (Camille Arnold)

3,05 €
Extrait : Chaque fois que Madeleine entend l'ascenseur se mettre en marche les aiguilles de son tricot s'immobilisent et elle suspend presque son souffle pour tendre l'oreille. Est-ce lui, cette fois ? Non, l'arrêt se fait à un autre étage... et elle en est, à la fois, déçue et contente : déçue, parce qu'elle languit que Claude soit rentrée... et contente, parce qu'elle pourra faire encore quelques « rangs » de plus à son pull-over. Comment sera-t-il ce soir ? Ne sera-t-il pas trop fatigué par le métro et ses bousculades aux heures de « pointe », ses innombrables escaliers de correspondance ? Ne sera-t-il pas trop énervé par les leçons données à des aspirantes-pianistes qui n'ont pas la moindre disposition pour la musique mais qui, avant de savoir faire une gamme, sont impatientes de pouvoir jouer Tristesse de Chopin à leur première réception ? Ne sera-t-il pas trop démoralisé par une entrevue avec quelque directeur de théâtre ou quelque éditeur qui, après lui avoir prodigué de grandes louanges pour ses oeuvres, se sera répandu en soupirs pour se plaindre de la crise, des frais chaque jour plus lourds qui l'obligent à « ne miser que sur des noms connus du public »…
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