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Il y a 7 produits.

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  • Auteurs: Anne Schmauch
  • Auteurs: Max Dervioux
  • Auteurs: Nancy Springer

Les enquêtes d'Enola Holmes T1 : La double disparition (Nancy Springer)

2,95 €
Ceux qui disent que Sherlock Holmes est le meilleur détective du monde ignorent encore l'existence de sa soeur : Enola Holmes ! Ma mère m'a appelée Enola, qui, à l'envers, se lit alone , « seule » en anglais. Et lorsque Mère disparaît, le matin de mon quatorzième anniversaire, c'est bel et bien seule que je me suis retrouvée. Appelés à l'aide, mes frères Mycroft et Sherlock Holmes — oui, le célèbre détective — n'avaient en fait qu'une idée en tête : m'envoyer en pension pour faire de moi une lady. Mais, me refusant à accepter ce sort, je décidai plutôt de prendre mon destin en main et de me lancer, seuls, à la recherche de ma mère. Dès 12 ans.

Maléfice sur Rome T1 : D'entre les morts (Anne Schmauch)

4,14 €
Hararld, 12 ans, et son grand-frère Ursius sont esclaves d'un grand prêtre de Rome. Celui-ci les traite bien et envisage de leur rendre leur liberté. Mais un matin, les enfants découvrent un aigle blessé dans le temple de Jupiter. C'est l'aigle du dieu lui-même, descendu parmi les hommes. Jupiter est en danger, et avec lui toute la ville et ses habitants. Or Harald et Ursius sont les seuls à le savoir… Dès 9 ans

Deux filles pour un cheval (Nancy Springer) - Castor Poche N° 435

2,74 €
À l'idée d'avoir de nouveaux voisins, Jenny n'est pas très enthousiaste. Mais la famille qui emménage dans l'appartement d'à-côté compte une fille de son âge. Au fil des jours, les deux filles découvrent leur passion commune pour les chevaux. Tout semble simple ! C'est compter sans l'hostilité de la classe entière coalisée contre Shan, seule Noire de l'école. Même le paysan voisin qui permettait à Jenny de monter son cheval interdit formellement la venue de Shan sur son pâturage. Les deux amies devront faire face...

N° 1663 - Le maître des coeurs (Max Dervioux)

3,74 €
Extrait : Renaud Sorel regarda la maison de granit située à l'entrée de cette petite ville du Morbihan où il était venu chercher oubli et solitude. — On dit qu'elle est hantée, remarqua-t-il en souriant. La vieille dame chargée de la location hocha la tête gravement : — Cela dépend des gens qui l'habitent. Ceux qui ont peur, dame… C'est pour ça que le prix en est si bas, m'sieu le Parisien. —Oh ! je ne redoute pas les fantômes, cela m'amuserait même de me rencontrer avec l'un d'eux, fit-il avec quelque ironie. — Monsieur est peut-être venu ici pour faire des expériences ? — Qui sait… Il s'adonnait, en amateur, aux sciences diverses, lorsque l'art, dans lequel il s'était illustré, lui laissait des loisirs. Paysagiste déjà célèbre par ses toiles hardies, Sorel avait révolutionné les lois de la peinture, en la ramenant vers plus de logique tout en laissant aux jeux de la lumière une prépondérance pleine d'intensité…

N° 1630 - L'aveu d'une honte (Max Dervioux)

3,74 €
Extrait : — On peut vous embaucher pour aider à la décoration de la salle, il y aura un grand gala, demain soir au casino et il nous faut des girandoles d'ampoules électriques… Puisque vous vous y connaissez… Pierre Guerlin murmura : — J'accepte… Il avait faim… Après avoir tenté vainement de trouver divers emplois, à Paris, il avait pris le train pour Deauville en plein mois d'août, espérant bien dénicher du travail enfin. Les excellentes études qu'il avait faites ne lui avaient servi à rien mais il possédait à son actif quelque adresse manuelle. C'était son plus sûr bagage. Tous les siens étaient morts, il n'avait pas de bien, que ses deux mains et son cerveau, inutilement meublé des connaissances courantes réclamées dans les examens. C'était un grand garçon au maigre visage, aux yeux d'acier bleu, racé en dépit de ses brusques façons, dues à l'amertume que lui inspiraient ses nombreuses déconvenues dans ses recherches pour une situation. A Deauville il allait pouvoir vivre pendant quelques semaines, puis il repartirait chercher de l'ouvrage ailleurs…

N° 1147 - L'amour aux enchères (Marx Dervioux)

3,05 €
Extrait : Lia Bermin relut plusieurs fois d'un air atterré, la lettre qu'elle tenait entre ses mains... Francis, son petit Francis, c'était impossible... Il n'avait pas fait ça. Elle sentait le sol se dérober sous elle, dans la modeste chambre de cette pension de famille située sur les hauteurs de Dinard. Cette catastrophe était pire que tout, et pourtant, le destin ne l'avait guère ménagée jusqu'alors… Orpheline de père et de mère à dix-huit ans et complètement ruinée, mal préparée pour la lutte, elle avait dû prendre le premier emploi venu, celui de manucure dans un institut de beauté parisien, qui l'avait envoyée sur cette plage pour la saison d'été dans une succursale proche des grands hôtels. Son frère Francis, un peu plus jeune qu'elle, en sortant de l'Ecole du Commerce, avait trouvé un poste de comptable dans une fabrique de Limoges. Brun, autant qu'elle était blonde, séduisant, fougueux, révolté souvent contre le sort rude il avait connu, dans la ville qu'il habitait, une jeune femme mariée dont il avait fait sa maîtresse, et, pour satisfaire les caprices de celle-ci, ne s'était-il pas peu à peu endetté, puis affolé il avait volé une somme de cent mille francs dans la caisse qui lui était confiée : Voilà ce qu'il avouait à sa soeur…

N° 1566 - Tu seras comtesse (Max Dervioux)

3,74 €
Extrait : Mireille regarda avec admiration autour d'elle. Le vieux château, situé en plein Rouergue, d'une si fière allure, entouré de bois, faisait une fameuse opposition avec l'humble logis qu'elle avait habité jusqu'alors, en compagnie de son père, ancien domestique retraité des comtes de Girac. Elle avait passé son enfance en Dordogne, chez sa grand-mère, qui l'avait élevée quand elle était orpheline et pendant que Gustave Méchain était encore en service au manoir de ses maîtres. Mireille avait vécu comme une paysanne, puis elle était entré dans une modeste pension, où elle avait acquis une solide instruction. L'aïeul était morte au moment où la jeune fille atteignait ses dix-huit ans, et son père, qui avait vu ses forces décliner après plusieurs bronchites successives, était revenu vivre auprès d'elle, au pays. A soixante ans, après avoir servi fidèlement le vieux comte de Girac, il avait reçu de lui une pension de trente mille francs. Celle-ci eût été insuffisante s'il n'y avait ajouté le revenu de son petit bien…
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