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  • Auteurs: Anne Stuart
  • Auteurs: Léopold Remon

N° 200 - Au coeur du danger (Anne Stuart)

2,54 €
Doux Repos portait bien son nom.  Nichée dans un coin perdu de Sainte-Anne, baignée par la mer des Caraïbes, cette vaste demeure coloniale servait de refuge à des privilégiés, qui pouvaient y soigner leurs blessures - physiques ou morales - dans les meilleures conditions. C'est là qu'après avoir connu l'enfer, Frances avait élu domicile…

Saint-Valentin : 4 romans Coup de Coeur

2,55 €
Pari sur le bonheur (Anne Stuart) On ne peut imaginer deux personnalités plus dissemblables que Shannon Donnelly et Frederick Lockwood. Pourtant, l'étincelle jaillit entre eux. Alors qui, de Shannon pour qui n'existe que l'amour sincère et durable, ou de Frederick, qui ne jure que par le désir passionné et éphémère, va l'emporter ? Un duel entre Saint-Valentin et Eros, en somme… Tout un jour pour aimer (Judith Arnold) 14 février - 8 h 58. Alors qu'elle vient livrer ses gâteaux pour une soirée donnée par Melanie Steele au manoir de Wyatt Hall, Claudia dérape sur la chaussée verglacée à cause d'un cycliste qui en sort à toute allure. Un vrai désastre dans la voiture ! Tout est à refaire... Le fou imprudent, qui n'est aute que Ned Wyatt, le frère de Melanie, lui propose de l'aider. Bien imprudemment, Claudia accepte. L'amoureux mystérieux (Anne McAllister) Les élèvres de sa classe en sont absolument certains : Jane Kitto, l'institutrice, a besoin d'un homme dans sa vie, un vrai, pas un mystérieux admirateur qui, à chaque Saint-Valentin, lui envoie une breloque qu'elle attache à son bracelet. Jane, elle, n'est pas tout à fait d'accord avec ses petits Cupidon, surtout quand leur choix se porte sur Zach Stoner, un ancien camarade d'école. Le baiser de la Saint-Valentin (JoAnn Ross) Depuis dix ans, à chaque début d'année, Patrick Sullivan se fait le serment d'oublier son ex-femme, Valentine. En cette veille du Nouvel An, pourtant, le destin va placer Valentine et ses jumeaux — sur le point de naître — sur son chemin.

N° 1696 - Sa vraie maman ! (Léopold Remon)

2,92 €
Extrait : C'était une pauvre demeure que celle où la vieille Marie Méry se mourait. Une grande pièce au sol dallé, une alcôve et un petit réduit où l'on gardait quelques provisions, composaient le modeste intérieur. Des bouquets d'oignons suspendus décoraient les poutres. La vaste cheminée, quelques misérables meubles ornaient la pièce principale qui s'ouvrait de plain-pied sur le jardinet. Parfois, deux ou trois poules effrontées s'aventuraient jusqu'à la paillasse où dormait Pierrette. C'était toute la basse-cour de Marie Méry qui nourrissait ces volatiles de quelques miettes, et leur laissait le soin de dénicher dans les champs d'alentour le plus clair de leur subsistance. Pauvre, Marie Méry l'était, mais à la façon indifférente des vieilles paysannes qui savent côtoyer la misère sans tomber dans le sordide. Elle ne possédait aucun bien, n'avait ni bétail, ni terre. Et la maison ne lui appartenait qu'en vertu de son abandon dont elle avait su profiter depuis si longtemps…

N° 1714 - Personne au monde... (Léopold Rémon)

3,74 €
Extrait : Quand Charles Bocham pénétra dans son bureau, le scribe indigène était déjà au travail. Le jeune homme bourra sa pipe, déplaça quelques dossiers, prit un roman policier. C'était vraiment un emploi de tout repos. L'employé maori se chargeait des paperasses et s'en tirait fort bien tout seul. Pourtant, le règlement prévoyait que le titulaire du poste devait être licencié en droit. Voilà pourquoi, depuis trois ans, Charles Bocham avait quitté la France. Trois ans ! Il avait débarqué à Tahiti comme Alice au pays des merveilles. C'était presque trop beau, trop colorié. L'air était trop doux, les parfums trop sucrés, la mer et le ciel trop bleus. Mais avec le temps, les couleurs s'étaient ternies, les parfums fanés. Aujourd'hui, Charles Bocham crevait d'ennui. Même la prochaine venue de sa fiancée ne parvenait pas à le tirer de sa lassitude. Le bateau, actuellement, devait franchir le canal de Panama. Il lui faudrait dix-huit jours avant de pénétrer dans la rade de Papeete. Ce délai parût soudain formidablement long à Charles Bocham, plus long que les trois années pendant lesquelles il avait attendu, tout d'abord, sa titularisation, constitué ensuite un petit pécule pour monter son ménage. A présent que le but était en vue, il se rendait compte qu'il n'en pouvait plus, que sa chair et son âme se refusaient à prolonger l'épreuve…
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