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  • Auteurs: Gilles de Saint-Avit
  • Auteurs: Jean Glachant

Le serment de Natacha (Saint-Avit)

3,92 €
Michka perçut le trouble de la jeune fille. La prenant dans ses bras, il se mit à couvrir son visage de baisers avec tant de douceur, de tendresse, de passion contenue que Natacha en fut bouleversée. Abandonnée contre lui, tremblante, il la sentit amoureuse et crut à sa victoire. Soudain, elle s'écarta. - Non, balbutia-t-elle. Non, je t'en prie. Je ne veux pas. - Mais tu m'aimes ! cria-t-il exaspéré. Je le vois bien… L'amour peut-il naître entre un moujik et une comtesse, dans la Russie des tzars ? Michka, Natacha : deux danseurs prestigieux de l'École impériale de ballet. Ils ont grandi ensemble, Natacha est la fille d'un boyard, Michka le neveu de son cocher... Rien que pour obtenir la permission d'être ballerine, Natacha a fait à son père un terrible serment. Quand tout s'écroule en Russie, la révolution renverse les barrières sociales, honnis l'obstacle qui sépare Natacha du danseur fascinant. Malgré la tourmente de violence et de haine qui ravage leur pays, Michka parviendra-t-il à sauver la vie de Natacha ? A quel prix ?

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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