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  • Auteurs: Annie-Pierre Hot
  • Auteurs: Ernest Richard
  • Auteurs: Jean Maufarge

N° 20 - La jeune prisonnière (Jean Maufarge)

9,90 €
Marie-France Delabarre, qui vient d'achever ses études d'ingénieur-chimiste, n'espérait pas une situation aussi merveilleuse: c'est un véritable pont d'or que lui fait M. de La Mortara. Il est vrai qu'il l'emmène en Argentine et qu'autour de cette mine à mettre en valeur plane un certain mystère… Roberto, le beau-fils un peu volage, mais très séduisant, de La Mortara, a reçu l'ordre bizarre de faire sa cour à Marie-France… Mais c'est une autre qu'il semble aimer, sa cousine Mercédès… La jalousie de Mercédès ne va-t-elle pas rendre la vie impossible à Marie-France ? Un accident au cours d'une promenade en montagne… Une calme et hospitalière maison où Marie-France est à la fois reine et prisonnière… Un Roberto étrangement sérieux, parfois dur, mais d'une admirable sollicitude… Pendant ce temps, mille intrigues se trament pour la propriété de la mine. Le coeur de Marie-France s'éveille à l'amour, mais aussi à l'inquiétude, aux tourments. Comment pouvait-elle deviner l'extraordinaire secret d'où, à la fin, sortira son bonheur ?

N° 1497 - L'anneau fatal (Annie-Pierre Hot)

3,50 €
Extrait : Franche écrivait d'un geste nerveux. Son regard allait de temps en temps chercher l'heure à la pendulette qui ornait la cheminée de sa chambre. Enfin, elle apposa sa signature, et d'un large trait de plume la souligna, affirmant ainsi son caractère autoritaire. Au même instant, du jardin, une voix cria : — Nous partons à la plage, Francine, viens-tu ? …

N° 1188 - Puisque tu me fuis... (Ernest Richard)

3,74 €
Extrait : Dans les salons de l'Hôtel Impéria, le Comité général des Armateurs donnait, cette nuit-là, son grand bal annuel. Tout ce que le port de Rouen comptait de notabilités, haut commerce, haute industrie, armée, magistrature et arts, avait tenu à figurer dans cette assemblée extrêmement brillante. Deux jazz, secondés d'orchestres tango-rumba, alternaient à chaque coin de l'immense pièce où chatoyaient uniformes et toilettes… Au brouhaha discret des soirées de bonne compagnie, les arrivants tardifs devinaient en entrant qu'on atteignait à l'instant où, de l'apparat guindé du début, la fête passe à la gaieté aimable qui ne doit plus l'abandonner avant l'aube. On venait de distribuer les cotillons, amusant épisode qui permet au plus grave des capitaines de vaisseau ou colonels en retraite, au plus austère président de cour d'assises d'arborer sans rougir un casque de pompier à moins que ce ne soit un polo de groom !…
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