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  • Auteurs: Annie-Pierre Hot
  • Auteurs: Florence Mortimer
  • Auteurs: René-Paul Noël

N° 1644 - On peut rêver d'amour (René-Paul Noël)

4,92 €
Extrait : Quelqu'un dit : — C'est scandaleux !  Mais on ne l'écoutait pas. Sur le quai de la gare, un employé s'avançait et la foule des voyageurs bloqués à Saint-Sulpice se porta à sa rencontre dans un mouvement impétueux. Le cheminot ouvrit les bras d'un air désappointé : — Je vous en prie… On vient de me téléphoner : les dépôts sont en grève, aucune machine ne peut sortir. …

N° 876 - Yakari et les prisonniers de l'île (Florence Mortimer) d'après Derib + Job

2,95 €
Après une belle promenade, Arc-en-Ciel et moi, Yakari, nous avons été surpris par un orage ! L'eau a monté et nous nous sommes retrouvés prisonniers sur une île, avec une famille d'élans… Je vais te raconter comment j'ai réussi à sauver un petit élan des griffes du glouton, une bête affamée, grâce à Double-Dent, l'astucieux castor.

N° 1654 - Rendez-moi mon enfant (René-Paul Noël)

6,00 €
Extrait : Myrtille Lacaule s'était adossé à la cheminée et, le visage crispé, elle suivait le manège de Deschamps présentant Simone à ses amis. Mais quoi que fasse Myrtille, son regard revenait se poser sur sa rivale ! Ainsi c'était là la jeune fille qui lui avait ravi l'amour de Pierre. Avec la sévérité d'une femme jalouse, elle la jugeait insignifiante et fade…

N° 1497 - L'anneau fatal (Annie-Pierre Hot)

3,50 €
Extrait : Franche écrivait d'un geste nerveux. Son regard allait de temps en temps chercher l'heure à la pendulette qui ornait la cheminée de sa chambre. Enfin, elle apposa sa signature, et d'un large trait de plume la souligna, affirmant ainsi son caractère autoritaire. Au même instant, du jardin, une voix cria : — Nous partons à la plage, Francine, viens-tu ? …

N° 1715 - Fille du Canada (René-Paul Noël)

4,50 €
Extrait : Les chevaux étaient rassemblés dans un vaste enclos de perches, près d'un village dont on apercevait les fumées par-dessus le petit rideau de trembles. La journée était précieuse comme une opale. Des paysans endimanchés, Canadiens français ou Irlandais, se pressaient sur la place du marché. Des gosses criaient, des chiens aboyaient et le crincrin d'un violon rythmant une clogg-dance mettait sur le tout une joyeuse atmosphère de Kermesse. Jean Leclerc avait pris le bras de Pierre Daix, son vieux copain retrouvé. La bière et le Whisky aidant, les jeunes gens, entre deux éclats de rire, cédaient à l'attendrissement et évoquaient leur jeunesse — pas si lointaine ! — avec des : « Te souviens-tu… » qui introduisaient, dans leur conversation, un peu de la mélancolie des choses fanées. La foule s'ouvrait sur leur passage. Ce qui attirait surtout l'attention sur le couple, c'était le vêtement de Jean Leclerc, anachronique comme un gibus à la vitrine d'un chapelier. Les gosses, bouche bée, lui faisaient une escorte discrète, les jeunes  filles le regardaient avec une inlassable curiosité…
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