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  • Auteurs: Annie-Pierre Hot
  • Auteurs: E. de Riche
  • Auteurs: Kathleen Karr

C'est la vie (Kathleen Karr)

2,92 €
New York, hiver 1882. Jack est orphelin, Mandy s'est sauvée de chez son père, qui la battait. Ils ont respectivement dix et huit ans mais ils vivent comme des grandes personnes. Pour avoir de quoi manger, ils cirent des chaussures et vendent des journaux, quitte à clamer que la Reine Victoria vient de mourir pour appâter les passants. Ils se font embaucher à l'usine, où l'on travaille onze heures par jour, avec le risque de se faire broyer les doigts par le métier à tisser. Ils dorment où ils peuvent, l'essentiel est de ne pas se quitter. Parfois, des adultes se mettent en travers de leur route. Ils les adoptent de force, leurs intentions ne sont pas toujours bonnes. Jack préfère sa liberté à l'assurance d'une soupe chaude tous les soirs. Mais il y a cette Miss Blackman, qui n'est pas du tout comme les autres. Quand Mandy se retrouve prisonnière d'un fou furieux, Jack sait que Miss Blackman est son seul espoir. De 12 à 16 ans. Un roman contemporain où l'on retrouve toutes les émotions que l'on a pu ressentir en lisant  Sans famille  et les livres de Dickens.

N° 1497 - L'anneau fatal (Annie-Pierre Hot)

3,50 €
Extrait : Franche écrivait d'un geste nerveux. Son regard allait de temps en temps chercher l'heure à la pendulette qui ornait la cheminée de sa chambre. Enfin, elle apposa sa signature, et d'un large trait de plume la souligna, affirmant ainsi son caractère autoritaire. Au même instant, du jardin, une voix cria : — Nous partons à la plage, Francine, viens-tu ? …

N° 935 - Pour gagner son coeur (E. de Riche)

3,05 €
Extrait : Une auto, conduite intérieure, franchit la porte des usines Martigny-Milchamp, à Suresnes, s'arrêta dans la cour, à côté du perron accédant aux bureaux de la direction et de l'administration. Un homme jeune, très élégant, vêtu d'un costume de sport de la meilleure coupe qui faisait valoir la sveltesse de sa taille, sauta à terre. Avisant un ouvrier qui, à quelques pas, s'activait auprès d'un châssis à peine carrossé, il s'approcha et, familier, dit : — Dédé, pendant que je monte chez M. Martigny, veux-tu jeter un coup d'oeil sur mon frein à pied, il y a un peu de jeu… L'interpellé releva à peine la tête. D'un coup de langue, il fit passer de la droite à la gauche de sa bouche un reste de cigarette collé à sa lèvre, répondit, maussade : — Mille regrets m'sieur le baron, peux pas quitter mon travail, adressez-vous à l'atelier de réparations…
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