Accueil

Accueil

Il y a 4 produits.

Affichage 1-4 de 4 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Anne Pierjean
  • Auteurs: Annie-Pierre Hot
  • Auteurs: Lili S. Junod

Stève et le chien Sorcier (Anne Pierjean) - Castor Poche N° 286

2,74 €
Au cours d'une partie de pêche au bord de la Drôme, Stève et son inséparable ami Pat rencontrent Carême le clochard. Le vieil homme, qui vit dans une cabane au bord du fleuve avec son chien, Sorcier, fait de surprenantes révélations aux deux garçons. Il prétend posséder un trésor dont il serait le seul, avec son chien, à connaître la cachette. Quelques jours plus tard, Carême est victime d'une agression… Il faudra toute l'ingéniosité de Pat, de Stève, et de sa jeune soeur Sandrine pour éclaircir cette étrange affaire.

Le temps de Julie (Anne Pierjean) - Castor Poche N° 179

2,15 €
C'est à la Saint-Andéol, un soir de fête et de feu d'artifice, que Julie rencontre Raphaël. Quelques jours plus tard, Julie pédale joyeusement en direction de la ferme du Riou où vivent Raphaël et ses parents. Au bois de chênes, Raphaël lui demande de devenir sa femme et Julie, malgré ses dix-sept ans et les huit ans qui les séparent, accepte. Elle a confiance en la femme qu'elle sera. Les années de bonheur passent vite. Julie découvre avec Raphaël la joie d'attendre un enfant, elle a tout juste vingt ans. Mais la guerre éclate et Raphaël doit partir…

N° 1497 - L'anneau fatal (Annie-Pierre Hot)

3,50 €
Extrait : Franche écrivait d'un geste nerveux. Son regard allait de temps en temps chercher l'heure à la pendulette qui ornait la cheminée de sa chambre. Enfin, elle apposa sa signature, et d'un large trait de plume la souligna, affirmant ainsi son caractère autoritaire. Au même instant, du jardin, une voix cria : — Nous partons à la plage, Francine, viens-tu ? …

N° 1631 - La cavalière de minuit (Lili S. Junod)

3,74 €
Extrait : Juste Delrode vida sa pipe d'un geste familier en la toquant à petits coups secs contre le mur de l'âtre où rougeoyaient les derniers tisons. Son visage boucané par les intempéries, la vie en plein air, les épreuves des dernières années de guerre, reflétait une expression maussade, accentuant la dureté du regard enfoncé et des lèvres minces qui jamais ne souriaient. Sa femme, la Maria, effacée, humble, toujours craintive devant ce maître redouté qui, jadis, l'avait choisie pour sa beauté, alors qu'elle n'était qu'une pauvre orpheline élevée par les soeurs, épiait en tremblant les signes de contrariété silencieuse qu'elle voyait figer les traits de Juste. Sa bonne figure douce gardait malgré le temps et l'âge une finesse exquise, le même bleu pur des yeux, un bleu de vitrail au soleil, étonnamment clair. Soudain tonna la voix de son homme : — Dis donc, la Maria ! Sais-tu ben qu'not'fille a fait tant d'progrès qu'la maîtresse d'école voudrait qu'al aille finir d'étudier dans eun'ville de par ici ? Ça m'plaît point, j'te l'dis tout franc…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire