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  • Auteurs: Antoine Laurent
  • Auteurs: Charles Exbrayat
  • Auteurs: Jean Glachant

N° 3090 - Le château des amours mortes d'après le roman de Charles Exbrayat

2,90 €
Extrait : Le collège de Saint-Fortunat, situé sur la rive droite du Rhône, jouit d'une réputation assurée parmi la bourgeoisie ardéchoise. Le collège est composé de bâtiments austères qu'égaie un très beau parc. Parmi les professeurs, le plus populaire est sans aucun doute Horace de la Rabatelière, qui enseigne le français dans les classes terminales. Un joli garçon de vingt-six ans, élégant…

N° 3082 - Les Dames du Creusot d'après le roman de Charles Exbrayat

2,90 €
Extrait : Chaque matin, vers dix heures, Gaston Moloy, directeur de « L'Eveil », l'un des plus grands quotidiens de la région lyonnaise, recevait ses collaborateurs. Ce jour-là, la réunion s'achevait lorsque le chef de la rubrique judiciaire demanda conseil en ce qui concernait l'affaire du Creusot. — Quelle affaire ? — Il y a quelques jours, un gosse a été écrasé dans la rue…

N° 3076 - Pour Belinda d'après le roman de Charles Exbrayat

2,90 €
Pour Belinda d'après le roman policier de Charles Exbrayat Extrait : Ils se sont tous tournés vers moi pour guetter ma réaction. Je me suis contenté de chercher des yeux Cyrus, puis j'ai pris mon chapeau, et je suis sorti sans un mot. Dehors, Cyrus m'attendait et je lui ai longuement serré la main : — Vous allez… là-bas ?… demanda-t-il. On ne vous aime guère dans ce coin-là : prenez garde, Bert ! — Je m'en moque… — J'attends ici votre retour… dit Cyrus…

N° 1524 - La fin d'un beau rêve (Antoine Laurent)

4,92 €
Extrait : — Vous m'aimez ? — Ah ! que vous le savez bien ! — Prouvez-le !… Miss Florence Herving braqua droit dans les yeux de Jean de Kervor le regard décidé de ses yeux noirs, et comme il la contemplait sans répondre, elle répéta, un sourire énigmatique relevant ses lèvres :— Prouvez-le !…

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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