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  • Auteurs: Antoine Laurent
  • Auteurs: Jean Dangery
  • Auteurs: Pierre de Latil
La fin d'un beau rêve (Antoine Laurent) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1524

N° 1524 - La fin d'un beau rêve (Antoine Laurent)

4,92 €
Extrait : — Vous m'aimez ? — Ah ! que vous le savez bien ! — Prouvez-le !… Miss Florence Herving braqua droit dans les yeux de Jean de Kervor le regard décidé de ses yeux noirs, et comme il la contemplait sans répondre, elle répéta, un sourire énigmatique relevant ses lèvres :— Prouvez-le !…
Bouya-Bouya (Pierre de Latil) - Les sentiers de l'aube N° 18 - Librairie Plon

Bouya-Bouya (Pierre de Latil) - Les sentiers de l'aube N° 18

9,90 €
Combien de fois n'a-t-on pas traité le thème de la « puissance des fables » ? Et quand on croit aux rêves, ne deviennent-ils pas réalités ? Mais ce livre, où l'on passe des songes de l'enfance au monde magique de l'exploration sous-marine, ne ressemble à aucun autre. L'action se déroule en un seul été, sur la côte d'Azur. Une jeune allongée se mêle aux jeux de ses cousins, elle est emportée par leur tourbillon et bientôt transformée. Dans une suite d'aventures tendrement féériques l'enchantement réel des sites sous-marins succède aux fictions nées de l'imagination des enfants sans que l'on sache où commence, où finit la vérité. De même que  Championne de ski  du même auteur nous valait, en toile de fond, un véritable « documentaire » sur le monde du ski, ce roman nous apporte un tableau passionnant du sport encore si peu connu de l'exploration sous-marine.
La douloureuse erreur (Jean Dangery) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1089

N° 1089 - La douloureuse erreur (Jean Dangery)

3,05 €
Extrait : Colette de Rions pénétra dans le vestiaire où le valet de chambre s'empressa pour lui tendre sa cape. Un instant, devant un long miroir qui descendait presque jusqu'au parquet, elle s'immobilisa pour jeter un coup d'œil à sa coiffure et se remettre de la poudre. La glace lui renvoyait sa silhouette grande et mince, aux proportions harmonieuses, vêtue d'un fourreau de soie gris clair délicieusement discret, qui moulait ses hanches rondes, son torse sculptural, et laissait libres les bras roses et la gorge frémissante. A sa ceinture pendait une énorme rose jaune pâle, si lourde, si charnue et veloutée qu'on eut dit une parfaite imitation de la nature. Le gris délicat de cette toilette s'harmonisait d'exquise façon avec la blondeur de Colette, — une blondeur à la fois chaude et douce, ni le blond cendré trop éteint, ni l'ardent blond vénitien qui semble flamber au soleil…
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