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  • Auteurs: Ariette Prêle
  • Auteurs: Christine Palluy
  • Auteurs: Michel Leydier

La Petite Princesse (Christine Palluy, Christine Circosta)

4,92 €
Lorsque son père, le riche capitaine Crewe, la confie aux bons soins de Miss Minchin et de son pensionnat londonien, la petite Sara découvre une toute nouvelle vie faite d'amitiés et de rêves. Choyée et entourée, elle vit comme une véritable princesse. Jusqu'au jour où une terrible nouvelle va tout bouleverser… D'après le célèbre roman de Frances H. Burnett, adapté par Christine Palluy.

Les grandes Grandes Vacances T2 : Pris dans la tourmente (Michel Leydier, Emile Bravo)

5,50 €
Juin 1940, l'armée allemande approche de Grangeville. Ernest, Colette et leurs grands-parents doivent quitter la maison. C'est l'exode. Ils rejoignent des milliers de personnes fuyant l'ennemi. Mais les avions allemands attaquent, l'armée française s'affole… et les enfants sont séparés de leurs grands-parents ! Que vont-ils devenir au milieu de cette tourmente ? Dès 8 ans.

Les grandes Grandes Vacances T4 : Le vent de la liberté (Michel Leydier, Emile Bravo)

4,15 €
Automne 1943, les tensions sont de plus en plus fortes dans le petit village de Grangeville. La bande des Robinson, n'écoutant que son courage, aide la Résistance en faisant le relevé des positions allemandes le long de la côte. Monsieur Herpin, leur instituteur, s'avère être le chef de la Résistance de la Région. Quelques mois plus tard, enfin, le débarquement des alliés a lieu ! Le village attend d'être libéré. Mais la nervosité des Allemands s'accentue, provoquant des représailles terribles. Malgré tout, un vent de liberté souffle désormais et rien ne pourra l'arrêter. Dès 8 ans.

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait  : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1884 - A la lumière de cet été (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : A l'heure de la sieste, la maisonnée tout entière plongeait dans le silence. Chacun était libre de dormir où il voulait : dans l'ombre de la sapinette sur les aiguilles de pins qui revêtaient la mousse d'une natte sèche et luisante, dans le fenil obscur plein de l'entêtante odeur des herbes rêches, dans l'ancienne magnanerie si l'on ne craignait pas les mouches ou dans la « chambre verte » que Sheila préférait à tout le reste. Mais elle arrivait rarement à s'annexer ce lieu de délices situé dans une aile inhabitée de la demeure, baignée de lumière glauque et de fraîcheur particulièrement favorables au sommeil : Delia et sa mère l'occupaient à tour de rôle, sauf cet après-midi là, puisque depuis le matin elles étaient parties faire des courses en ville. Sadi — le mari de Délia — Chris, le frère de Sheila et de Délia, Chad Maddelin enfin, le chef de la famille, allaient choir sur des couches improvisées aux alentours de la maison : sapinette, fenil, voire même bûcher ou buanderie quand il faisait très chaud comme aujourd'hui…
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