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  • Auteurs: Ariette Prêle
  • Auteurs: Christine Palluy
  • Auteurs: Roseanne Williams
Nuit d'ivresse - Roseanne Williams - Harlequin Rouge passion N° 931
  • Nouveau

N° 931 - Nuit d'ivresse (Roseanne Williams)

2,56 €
Lori Stuart a commis une erreur, une seule, dans sa vie : cinq ans plus tôt, un soupçon de dentelle noire pour tout vêtement, elle s'est glissée dans la chambre de Jason, son fiancé, bien déterminée à jouer les femmes fatales pour vaincre ses dernières résistances. Elle, la timide, la pudique, s'est approchée à tâtons de l'homme étendu dans l'obscurité, l'a éveillé d'un baiser, lui a murmuré des paroles coquines à l'oreille… puis, faisant taire ses exclamations de surprise, elle s'est rendue à son désir autant qu'elle suscitait le sien, donnant autant qu'elle recevait, prenant autant qu'elle offrait. Avec une sensualité qu'elle ne se connaissait pas, elle a aimé Jason jusqu'au petit matin… Avant de s'apercevoir de sa terrible erreur : celui que, dans le noir, elle avait pris pour son fiancé n'était autre que Greg Torrance, un camarade d'enfance de Jason !

La Petite Princesse (Christine Palluy, Christine Circosta)

4,92 €
Lorsque son père, le riche capitaine Crewe, la confie aux bons soins de Miss Minchin et de son pensionnat londonien, la petite Sara découvre une toute nouvelle vie faite d'amitiés et de rêves. Choyée et entourée, elle vit comme une véritable princesse. Jusqu'au jour où une terrible nouvelle va tout bouleverser… D'après le célèbre roman de Frances H. Burnett, adapté par Christine Palluy.

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait  : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1884 - A la lumière de cet été (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : A l'heure de la sieste, la maisonnée tout entière plongeait dans le silence. Chacun était libre de dormir où il voulait : dans l'ombre de la sapinette sur les aiguilles de pins qui revêtaient la mousse d'une natte sèche et luisante, dans le fenil obscur plein de l'entêtante odeur des herbes rêches, dans l'ancienne magnanerie si l'on ne craignait pas les mouches ou dans la « chambre verte » que Sheila préférait à tout le reste. Mais elle arrivait rarement à s'annexer ce lieu de délices situé dans une aile inhabitée de la demeure, baignée de lumière glauque et de fraîcheur particulièrement favorables au sommeil : Delia et sa mère l'occupaient à tour de rôle, sauf cet après-midi là, puisque depuis le matin elles étaient parties faire des courses en ville. Sadi — le mari de Délia — Chris, le frère de Sheila et de Délia, Chad Maddelin enfin, le chef de la famille, allaient choir sur des couches improvisées aux alentours de la maison : sapinette, fenil, voire même bûcher ou buanderie quand il faisait très chaud comme aujourd'hui…
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