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  • Auteurs: Ariette Prêle
  • Auteurs: Cindy Victor
  • Auteurs: Lauren Canan
Le retour de Chance Masters / Ennemis et amants - Harlequin Passions N° 681
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N° 681 - Le retour de Chance Masters (Lauren Canan) - Ennemis et amants (Shirley Jump)

4,75 €
Le retour de Chance Masters (Lauren Canan) Chance Masters est de retour en ville… et va travailler avec elle au ranch ! Holly est sous le choc. Car cet homme – dont elle n’a plus eu la moindre nouvelle depuis douze ans – est le seul qu’elle ait jamais vraiment aimé. Et, tout comme autrefois, il suffit qu’il lui sourie pour que son cœur batte plus fort… Pourtant, hors de question de se laisser attendrir. Holly ne tombera plus jamais amoureuse, elle s’en est fait le serment, et elle devra tenir bon… Ennemis et amants (Shirley Jump) Le diable en costume trois pièces : voilà ce qu’est Walker Jones. Lindsay le sait, si elle veut en convaincre le juge de Rust Creek Falls et faire perdre à Walker le procès qui les oppose, elle doit mettre en œuvre tous ses talents d’avocate ! Mais ce présomptueux de Walker semble prendre plaisir à la provoquer. Pire, les regards enfiévrés qu’il lui lance sont loin de la laisser indifférente… Résolue à ne pas se laisser déstabiliser, Lindsay décide de le remettre à sa place, et vite…

N° 725 - Arabesque sur le Lac Blanc (Cindy Victor)

2,56 €
— Dites-moi, imaginez-vous toujours les dialogues de vos scènes de meurtre, sous la douche ? — Seulement quand j'ai du mal à les écrire, répliqua Spencer. Ça vaut mieux que dans un grand magasin ou un supermarché. Dans la salle de bains, personne ne m'entend parler tout seul… habituellement. — Habituellement… fit en écho Tamara, avec son radieux sourire. Spencer se sentit obligé d'y répondre…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait  : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1884 - A la lumière de cet été (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : A l'heure de la sieste, la maisonnée tout entière plongeait dans le silence. Chacun était libre de dormir où il voulait : dans l'ombre de la sapinette sur les aiguilles de pins qui revêtaient la mousse d'une natte sèche et luisante, dans le fenil obscur plein de l'entêtante odeur des herbes rêches, dans l'ancienne magnanerie si l'on ne craignait pas les mouches ou dans la « chambre verte » que Sheila préférait à tout le reste. Mais elle arrivait rarement à s'annexer ce lieu de délices situé dans une aile inhabitée de la demeure, baignée de lumière glauque et de fraîcheur particulièrement favorables au sommeil : Delia et sa mère l'occupaient à tour de rôle, sauf cet après-midi là, puisque depuis le matin elles étaient parties faire des courses en ville. Sadi — le mari de Délia — Chris, le frère de Sheila et de Délia, Chad Maddelin enfin, le chef de la famille, allaient choir sur des couches improvisées aux alentours de la maison : sapinette, fenil, voire même bûcher ou buanderie quand il faisait très chaud comme aujourd'hui…
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